
Andy Kokaji


À propos de moi
Je suis né/j’ai grandi à : né à Edmonton, Alberta, et j’ai grandi à St. Albert, une banlieue juste au nord-ouest d’Edmonton, Alberta.
J’habite désormais : Vancouver, Colombie-Britannique
J’ai fait ma formation ou mes études à : j’ai obtenu un baccalauréat en génétique moléculaire de l’Université de l’Alberta, à Edmonton. Immédiatement après mon baccalauréat, j’ai obtenu mon doctorat en immunologie à la faculté de médecine et au département de microbiologie médicale et d’immunologie de la même université.
Ce que je fais au travail
Comme la plupart d’entre nous, j’ai commencé ma carrière en science en travaillant directement dans un laboratoire. Je tentais de résoudre un problème ou de faire une nouvelle découverte. Au fil de ma carrière, j’ai eu l’heureuse occasion de bâtir une petite équipe de technologues en laboratoire. Nous travaillons ensemble pour améliorer notre efficacité. Cela nous a permis de poser davantage de questions, de mettre au point des expériences ayant pour but de trouver une pièce manquante du casse-tête encore incomprise jusque-là. Maintenant, je supervise le travail du personnel scientifique senior qui dirige leurs propres équipes de recherche chargées de développer des produits.
Les produits que nous développons permettent aux scientifiques du monde entier de mener leurs recherches. Je travaille avec des gens très brillants. Notamment, des biologistes et des chimistes, ainsi que tous les types d’ingénieures et ingénieurs, comme celles et ceux en génie logiciel, en génie du matériel informatique et en génie des processus.
Les scientifiques parlent souvent une « langue » propre à leur domaine d’études. Même si nous avons la chance que l’anglais soit la première langue scientifique internationale, il est très important d’apprendre à communiquer avec les gens ayant une expérience et un bagage variés. Les scientifiques, les ingénieures et ingénieurs, les chimistes, les avocates et avocats spécialisés en propriété intellectuelle et les bioinformaticiennes et bioinformaticiens parlent toutes et tous un « jargon scientifique » légèrement différent.
Mon quotidien se compose d’un mélange de tâches et d’objectifs différents. Je passe le plus clair de mon temps dans des réunions à examiner des renseignements, à poser des questions et à prendre des décisions sur les prochaines étapes. Je suis impliqué dans beaucoup de tâches interdépartementales. Par conséquent, les activités découlant des décisions que j’ai prises sont menées par toutes sortes de gens dans l’organisation. Quand je dirige une équipe de scientifiques seniors, je participe aussi aux discussions sur les approches expérimentales et les détails techniques particuliers du développement de produits et sur la résolution de problème. Je passe le reste de mon temps avec des partenaires de recherche externes ou des partenaires d’affaires.
Chaque jour, pour toutes ces activités, je me sers de compétences en STIM. Ma formation scientifique m’est essentielle pour arriver à comprendre rapidement un problème, identifier les questions à poser et prendre des décisions fondées sur l’information disponible. Il a aussi .été essentiel de compléter ma formation en STIM par une compréhension de l’aspect commercial et du côté humain.
Mon parcours
À un âge relativement jeune, je voulais faire de la recherche en cancérologie. À l’école primaire, j’ai fait un exposé en classe sur le VIH. Je crois qu’à l’époque, je ne savais pas que cet exposé allait probablement être le premier de nombreux autres exposés scientifiques qui m’ont mené là où je suis aujourd’hui. Dans ma troisième année de baccalauréat, je me suis retrouvé à suivre un cours d’introduction à l’immunologie. C’était le cours le plus difficile que j’avais fait jusqu’à ce jour, et je n’avais pas été particulièrement bon. En revanche, c’était le cours le plus intéressant que j’avais suivi et il y avait tellement d’éléments inconnus.
J’étais fasciné par le fait qu’il se produisait un tel volume de nouvelles découvertes directement liées à notre corps et à la santé humaine. C’est ce qui m’a poussé à faire mon doctorat en immunologie. C’est aussi ce qui m’a mené là où je suis aujourd’hui, directeur associé en immunologie.
Ce qui me motive
Le travail que les gens de mon domaine font vise précisément à améliorer la vie des personnes atteintes de maladies humaines. Qu’il s’agisse de recherches scientifiques fondamentales ou cliniques, notre travail contribue au progrès scientifique. Nous avons mis au point des produits utilisés par des scientifiques et des entreprises de renommée mondiale qui mettent au point des traitements et des remèdes pour soigner les maladies humaines. Nous sommes au tournant de l’histoire en ce qui a trait à la thérapie cellulaire avancée. C’est incroyablement stimulant d’y jouer un rôle.
Même s’il nous arrive d’être ralentis par nos responsabilités quotidiennes ou par ces réunions qui semblent parfois interminables, je suis toujours à la recherche d’occasions pour apprendre. Je serai toujours motivé par l’apprentissage de quelque chose de nouveau, peu importe son envergure. Les connaissances acquises te permettront de comprendre un problème au moment opportun, quand d’autres personnes pourraient ne pas y parvenir.
Comment j’influence la vie des gens
Au quotidien, ma carrière me permet de voir les gens apprendre et façonner leur esprit scientifique et leur sens de l’observation. Les résultats de leurs travaux sont plus importants, mais à plus petite échelle, c’est aussi très gratifiant de voir les autres s’épanouir personnellement. La découverte scientifique et ses applications peuvent prendre beaucoup de temps, le plaisir est dans le parcours, la recherche.
En dehors du travail, je
Rester actif fait partie de mon mode de vie. Je m’entraîne régulièrement et je pratique beaucoup de sports organisés comme le volleyball de plage l’été, et le volleyball intérieur ainsi que le curling l’hiver. Dès que c’est possible, je pratique aussi le golf, le vélo de montagne, le snowboard et le surf. Quand je ne suis pas actif, j’aime cuisiner (et manger) et je fais aussi du jardinage urbain. Mon plus récent passe-temps est la voile, que je trouve extrêmement relaxante, sauf lorsque vient le moment d’amarrer le bateau.
Mon conseil aux autres
Laisse-toi guider par ce que tu aimes, fais preuve de curiosité envers ton environnement et demande-toi toujours pourquoi ou comment les choses fonctionnent. Accepte l’échec, apprends de tes erreurs et tente de comprendre pourquoi ce que tu as essayé n’a pas fonctionné. Ce sont les leçons que tu retiens de ces échecs et de ces erreurs qui mènent à la découverte. Les grandes idées sont celles qui semblent ne pas fonctionner ou impossibles aux yeux des autres.
- Cours de métiers et en atelier
- Éducation physique/Santé
- Sciences
- Technologie
- Appréciait travailler seule
- Voulait toujours sortir dehors
- Aimait aider les autres
- Faisait partie d’une équipe sportive
- Aimait travailler avec ses mains
- Était motivée par le succès
- Souhaitait diriger
- Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
- Ne voulait jamais être en classe
- Ressentait une grande satisfaction lorsqu’elle obtenait de bonnes notes
- Apprenait mieux en expérimentant
- A toujours su ce qu’elle voulait faire plus tard
- Aimait démonter les objets pour comprendre comment ils fonctionnaient