Nevicia Case (elle)
À propos de moi
Je suis né/j’ai grandi à : Edmonton, Alberta
J’habite désormais : Edmonton, Alberta
J’ai fait ma formation ou mes études à : B.A. en psychologie (en anglais) – Université de Calgary; M. Sc. en sciences médicales (en anglais) – Université de Calgary; Ph. D. en psychiatrie (en anglais) – Université McGill; PMP – Project Management Institute (en anglais)
Ce que je fais au travail
Je suis chercheuse postdoctorale à la Faculté de droit de l’Université de l’Alberta. Dans ce rôle, je gère plusieurs projets de recherche et je travaille au sein d’une équipe. Notre objectif est de trouver des moyens de rendre les thérapies à base de cellules souches sûres et efficaces plus accessibles aux personnes qui en ont besoin. Je fais des recherches sur l’internet et je mène des sondages. Je fais aussi des entrevues avec des patients, des médecins, des scientifiques et des autorités de réglementation. Je fais cela pour connaître leurs problèmes ou leurs préoccupations.
J’utilise mes antécédents en psychologie pour m’aider à interagir avec eux et à comprendre leurs préoccupations. J’utilise mes compétences en analyse de données pour déceler des tendances et des modèles dans leurs préoccupations communes. Sur la base des résultats de mon analyse, j’identifie différentes actions que les médecins, les scientifiques et les organismes de réglementation peuvent réaliser pour résoudre les problèmes liés à l’accès des patients aux thérapies à base de cellules souches. Je résume ensuite toutes ces informations dans un article scientifique pour publication. Je donne également des présentations aux médecins, aux scientifiques, aux autorités de réglementation et au public. J’utilise leurs commentaires pour inspirer davantage de recherches, et le cycle continue!
Mon parcours
J’ai beaucoup d’intérêts. Tout au long de mon enfance, j’ai reçu beaucoup de formation musicale technique, principalement au piano et à la voix. Quand j’ai commencé le secondaire, je voulais étudier la musique à l’université. Mes notes à l’école étaient élevées, alors j’ai été placée dans des classes du baccalauréat international. J’y ai découvert que j’aimais vraiment aussi la biologie! J’aimais également aider les gens. Je m’intéressais beaucoup aux situations d’injustice et j’étais curieuse d’en savoir plus sur le cerveau humain. Approfondir ce sujet était une priorité pour moi.
Pour mon diplôme de baccalauréat à l’université, j’ai décidé d’étudier la psychologie. J’étais intriguée par la façon dont la biologie du cerveau produit la pensée et le comportement. Mes premiers projets de recherche portaient sur la façon dont les gens pensent et se comportent dans les relations amoureuses. Au cours de ma maîtrise et de mon doctorat, j’ai plongé plus profondément dans le sujet de la pensée et du comportement chez l’humain. J’ai donc entrepris d’étudier de jeunes gens présentant des symptômes de psychose. Cette maladie se caractérise par la difficulté que présente le cerveau à différencier ce qui est réel de ce qui ne l’est pas. J’ai également étudié des personnes âgées atteintes d’angiopathie amyloïde cérébrale. Il s’agit d’une maladie du cerveau où les cellules cérébrales meurent et affectent la fonction cérébrale. J’ai aussi étudié les comportements à risque qui se présentent lorsque les jeunes consomment de l’alcool et conduisent. Je suis toujours motivée par le désir d’améliorer la santé des gens d’une manière juste. C’est pourquoi je travaille maintenant en droit de la santé. J’aime la musique à des fins récréatives.
Ce qui me motive
Je suis motivée par la possibilité d’améliorer la santé des gens. J’ai toujours aimé aider les gens. En même temps, je préfère aussi un emploi plus tranquille où je n’ai pas à interagir constamment avec les gens. Ma carrière en recherche est l’équilibre parfait. J’ai un impact sur la vie des gens, principalement grâce à la douce tranquillité de mon bureau. J’aime aussi avoir l’occasion de partager mon travail publiquement en donnant des présentations!
Comment j’influence la vie des gens
Des thérapies à base de cellules souches sont mises à l’essai dans des laboratoires scientifiques. Nous devons nous assurer qu’elles sont sécuritaires et efficaces pour traiter les maladies chez les patients. Ce processus est coûteux et peut prendre plus d’une décennie! Mes recherches visent à s’assurer que les thérapies à base de cellules souches sont sûres et efficaces. Mes recherches aident également à s’assurer que les patients peuvent s’offrir ces traitements.
En dehors du travail, je
Au cours des dernières années, j’ai fait du bénévolat auprès de plusieurs organisations de jeunes et de jeunes professionnels. Ce sont des organisations qui visent à créer un impact positif sur la société. Il s’agit notamment de la communauté Global Shapers, de Propel Impact, du programme de bourses d’études de One Young World par l’intermédiaire de Johnson & Johnson et du Black Wealth Club. Ce sont là d’excellentes façons de t’impliquer dans ta communauté locale et mondiale à partir de l’âge de 18 ans. Tu peux également avoir l’occasion de rencontrer d’autres jeunes leaders!
Mon conseil aux autres
1) Les carrières les plus uniques se situent souvent au carrefour des intérêts des gens. Par exemple, la science ne se limite pas aux cours de sciences. Si tu aimes aussi l’éthique, explore comment ces deux domaines s’influencent mutuellement. 2) Tu n’es jamais trop jeune pour avoir un impact sur le monde qui t’entoure. Renseigne-toi sur les clubs scolaires ou le bénévolat communautaire auxquels tu peux te joindre. Si aucun ne t’intéresse, crée le tien!
- Arts dramatiques
- Langues étrangères
- Littérature et langue
- Sciences
- Musique
- Conception graphique
- Appréciait travailler seul
- Aimait aider les autres
- Était motivé par le succès
- Aimait la lecture
- Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
- Ressentait une intense satisfaction lorsqu’elle obtenait de bonnes notes