portrait par Marianne Parent

Marianne Parent (elle)

Vétérinaire / Candidate au doctorat en épidémiologie vétérinaire,

Hôpital animalier de Russell Lake

Profil créé le : 12 juillet 2024
Secteur :
Soins de santé,  Sciences
Parcours education : Université
Matières scolaires associées :
Biologie,  Anatomie,  Zoologie,  Santé,  Sciences

À propos de ma carrière

Je suis une docteure pour les chats et les chiens, ainsi que pour certains autres animaux comme les perroquets et les lapins. Je fais aussi de la recherche sur un parasite du saumon d’élevage.

Je suis né/j’ai grandi à : Sainte-Justine, Montréal, Québec, Canada

J’habite désormais : Dartmouth, Municipalité régionale d’Halifax, Nouvelle-Écosse, Canada

J’ai fait ma formation ou mes études à : Baccalauréat ès sciences en biologie (site en anglais), Université de l’Île-du-Prince-Édouard; docteure en médecine vétérinaire (site en anglais), Collège vétérinaire de l’Atlantique, Université de l’Île-du-Prince-Édouard; maîtrise ès sciences en santé communautaire et épidémiologie (site en anglais), Université Dalhousie; candidate au doctorat en sciences en épidémiologie vétérinaire (site en anglais), Collège vétérinaire de l’Atlantique, Université de l’Île-du-Prince-Édouard

Mon travail consiste en un mélange de travail en clinique et de recherche. Pendant les journées en clinique, je rencontre des personnes et discute avec elles de leurs inquiétudes concernant leur animal de compagnie. Ensuite, j’examine l’animal de la tête à la queue, cherchant des masses, des bosses, des anomalies dans la fourrure, des douleurs, et plus encore. J’utilise mon stéthoscope pour écouter le cœur et le thorax, en prêtant attention au rythme, à la vitesse, et à toute anomalie. Parfois, je demande des analyses de sang ou des radiographies (rayons X) pour aider à établir un diagnostic. Dans certaines situations, je ne peux pas émettre de diagnostic. Dans ce cas, je détermine les prochaines étapes pour assurer le confort et les soins optimaux de l’animal.  

Pendant les journées où je ne suis pas en clinique, je me consacre principalement à ma thèse. Un doctorat nécessite des recherches et des analyses originales, ainsi qu’une revue approfondie des études connexes. Ayant terminé mes recherches, je suis maintenant en phase de rédaction, ce qui implique l’écriture, la révision et la réécriture. Cela nécessite également de nombreuses rencontres avec mon superviseur pour discuter des idées et de la meilleure manière de présenter des concepts complexes. 

Au début de mes études secondaires, je n’envisageais pas de devenir vétérinaire, car beaucoup de personnes me recommandaient cette carrière, et je ne voulais pas être mise dans un carcan. Cependant, à 16 ans, j’ai décidé que c’était bien ce que je voulais faire. À cette époque, de nombreuses personnes, y compris certains enseignants et enseignantes de mon école secondaire, me déconseillaient de poursuivre une carrière en médecine vétérinaire, pensant que je n’avais pas « ce qu’il fallait » pour suivre ce programme. Cela a peut-être renforcé mon désir de compléter la formation nécessaire pour devenir vétérinaire. 

Pendant mes études vétérinaires et de premier cycle, j’ai eu l’occasion de travailler avec de nombreux chercheurs et chercheuses extraordinaires, ce qui m’a permis de découvrir les méthodes de recherche et l’épidémiologie. Après avoir obtenu mon diplôme de l’école vétérinaire, j’ai travaillé un certain temps en tant qu’omnipraticienne. Un mélange de problèmes de santé et de mon désir d’avoir un impact plus large m’a conduite à poursuivre des études en épidémiologie.  

Je suis enthousiaste à l’idée de résoudre des problèmes complexes! C’est comme travailler sur un casse-tête géant. Pendant mon travail en clinique, j’apprécie les cas médicaux complexes qui nécessitent réflexion et recherche. J’aime beaucoup collaborer en équipe pour identifier et résoudre des problèmes. J’aime aussi enseigner et faire du mentorat en médecine vétérinaire. Dans ce rôle, j’utilise les compétences en leadership que j’ai développées lors de ma formation et de mon travail en tant que sauveteuse, instructrice de natation et monitrice en secourisme pendant mes études secondaires et universitaires de premier cycle. 

Ma carrière de vétérinaire est importante pour de nombreuses personnes puisque je prends soin de leur animal de compagnie. Je les aide à comprendre comment prendre soin de leur animal et communiquer avec lui afin de pouvoir établir la meilleure relation possible.  

Mes recherches portent sur l’épidémiologie vétérinaire. Ce type de recherche concerne la lutte contre les maladies chez les animaux. Il s’agit d’enquêtes sur la source des maladies chez les animaux et la recherche de moyens d’arrêter leur propagation. Avec ma recherche, je peux aider des fermiers et fermières à améliorer le bien-être de leurs animaux.

En dehors du travail, je prends soin de mon enfant et je passe beaucoup de temps au parc! Je fais du bénévolat auprès de Skype A Scientist. Il s’agit d’un programme qui établit des liens entre les enseignants et enseignantes et des scientifiques qui feront des présentations virtuelles pour leurs élèves. Je suis aussi bénévole pour la SPCA en tant que famille d’accueil pour des chats. J’aime la natation et la peinture.  

Prends ton temps! Rien ne presse, même si tu peux parfois avoir l’impression que c’est le cas.

Ce que je fais au travail

Mon travail consiste en un mélange de travail en clinique et de recherche. Pendant les journées en clinique, je rencontre des personnes et discute avec elles de leurs inquiétudes concernant leur animal de compagnie. Ensuite, j’examine l’animal de la tête à la queue, cherchant des masses, des bosses, des anomalies dans la fourrure, des douleurs, et plus encore. J’utilise mon stéthoscope pour écouter le cœur et le thorax, en prêtant attention au rythme, à la vitesse, et à toute anomalie. Parfois, je demande des analyses de sang ou des radiographies (rayons X) pour aider à établir un diagnostic. Dans certaines situations, je ne peux pas émettre de diagnostic. Dans ce cas, je détermine les prochaines étapes pour assurer le confort et les soins optimaux de l’animal.  

Pendant les journées où je ne suis pas en clinique, je me consacre principalement à ma thèse. Un doctorat nécessite des recherches et des analyses originales, ainsi qu’une revue approfondie des études connexes. Ayant terminé mes recherches, je suis maintenant en phase de rédaction, ce qui implique l’écriture, la révision et la réécriture. Cela nécessite également de nombreuses rencontres avec mon superviseur pour discuter des idées et de la meilleure manière de présenter des concepts complexes. 

Mon parcours

Au début de mes études secondaires, je n’envisageais pas de devenir vétérinaire, car beaucoup de personnes me recommandaient cette carrière, et je ne voulais pas être mise dans un carcan. Cependant, à 16 ans, j’ai décidé que c’était bien ce que je voulais faire. À cette époque, de nombreuses personnes, y compris certains enseignants et enseignantes de mon école secondaire, me déconseillaient de poursuivre une carrière en médecine vétérinaire, pensant que je n’avais pas « ce qu’il fallait » pour suivre ce programme. Cela a peut-être renforcé mon désir de compléter la formation nécessaire pour devenir vétérinaire. 

Pendant mes études vétérinaires et de premier cycle, j’ai eu l’occasion de travailler avec de nombreux chercheurs et chercheuses extraordinaires, ce qui m’a permis de découvrir les méthodes de recherche et l’épidémiologie. Après avoir obtenu mon diplôme de l’école vétérinaire, j’ai travaillé un certain temps en tant qu’omnipraticienne. Un mélange de problèmes de santé et de mon désir d’avoir un impact plus large m’a conduite à poursuivre des études en épidémiologie.  

Ce qui me motive

Je suis enthousiaste à l’idée de résoudre des problèmes complexes! C’est comme travailler sur un casse-tête géant. Pendant mon travail en clinique, j’apprécie les cas médicaux complexes qui nécessitent réflexion et recherche. J’aime beaucoup collaborer en équipe pour identifier et résoudre des problèmes. J’aime aussi enseigner et faire du mentorat en médecine vétérinaire. Dans ce rôle, j’utilise les compétences en leadership que j’ai développées lors de ma formation et de mon travail en tant que sauveteuse, instructrice de natation et monitrice en secourisme pendant mes études secondaires et universitaires de premier cycle. 

Comment j’influence la vie des gens

Ma carrière de vétérinaire est importante pour de nombreuses personnes puisque je prends soin de leur animal de compagnie. Je les aide à comprendre comment prendre soin de leur animal et communiquer avec lui afin de pouvoir établir la meilleure relation possible.  

Mes recherches portent sur l’épidémiologie vétérinaire. Ce type de recherche concerne la lutte contre les maladies chez les animaux. Il s’agit d’enquêtes sur la source des maladies chez les animaux et la recherche de moyens d’arrêter leur propagation. Avec ma recherche, je peux aider des fermiers et fermières à améliorer le bien-être de leurs animaux.

En dehors du travail, je

En dehors du travail, je prends soin de mon enfant et je passe beaucoup de temps au parc! Je fais du bénévolat auprès de Skype A Scientist. Il s’agit d’un programme qui établit des liens entre les enseignants et enseignantes et des scientifiques qui feront des présentations virtuelles pour leurs élèves. Je suis aussi bénévole pour la SPCA en tant que famille d’accueil pour des chats. J’aime la natation et la peinture.  

Mon conseil aux autres

Prends ton temps! Rien ne presse, même si tu peux parfois avoir l’impression que c’est le cas.

Durant mon parcours scolaire, j'appréciais les sujets suivants :

  • Arts visuels
  • Mathématiques
  • Sciences

Durant mon parcours scolaire , je me décrirais comme une personne qui :

  • Aimait aider les autres
  • Faisait partie d’une équipe sportive
  • Était motivé par le succès
  • S’impliquait dans des activités de bénévolat
  • Aimait la lecture
  • Ressentait une intense satisfaction lorsqu’elle obtenait de bonnes notes
  • Était très créative

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