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Kenzie Arnott

Responsable du programme « Science in the City »

STEMCELL Technologies

Profil créé le : 12 juillet 2024
Parcours education : Université
Matières scolaires associées :

À propos de ma carrière

Je dirige un programme de communication scientifique dans trois villes différentes. Le but est de connecter les scientifiques afin de les aider à comprendre les spécialités des uns et des autres.

Je suis né/j’ai grandi à : J’ai vu le jour à Victoria, en Colombie-Britannique, au Canada. J’ai grandi à Lutz, en Floride, aux États-Unis, une communauté rurale près de Tampa.

J’habite désormais : Vancouver, Colombie-Britannique, Canada

J’ai fait ma formation ou mes études à : J’ai commencé mon parcours universitaire dans le programme de géniechimique (en anglais) à l’Université de Manchester en Angleterre. Après ma première année, j’ai changé pour la biochimie (en anglais) et j’ai obtenu un baccalauréat en sciences. J’ai ensuite poursuivi mes études à l’Université d’Édimbourg en Écosse où j’ai obtenu une maîtrise en biotechnologie (en anglais). Puis, j’ai déménagé à Vancouver, en Colombie-Britannique. J’ai obtenu l’admission à l’Université de la Colombie-Britannique en vue d’un doctorat en botanique/sciences végétales (en anglais). Cependant, après un an d’études, j’ai décidé que le doctorat n’était pas la voie que je voulais suivre et j’ai plutôt obtenu une maîtrise en botanique (en anglais).

Je dirige le programme « Science in the City » (en anglais). Il s’agit d’un média de communication scientifique pour trois villes différentes : Boston, Seattle et Vancouver. « Science in the City » connecte les chercheurs et chercheuses ainsi que les scientifiques pour les aider à comprendre le travail des uns et des autres. Cela favorise la création de nouvelles collaborations et l’émergence d’une communauté scientifique locale et soudée. 

Mon travail consiste à sélectionner et créer des articles sur l’actualité scientifique locale à partager avec la communauté scientifique. Ensuite, je mène des entretiens avec des chercheurs et chercheuses à propos de leurs nouvelles publications. Je lis également des articles afin de choisir des travaux pertinents à partager avec les autres. Puis, je les publie sur les réseaux sociaux et le site Web. Je travaille également avec des graphistes pour créer de belles images et brochures. J’assiste à des événements scientifiques locaux et collabore avec des groupes scientifiques locaux pour promouvoir et organiser de nouveaux événements et projets. 

La majeure partie de mon travail repose sur ma capacité à comprendre les recherches des scientifiques et à rédiger des articles compréhensibles par tout le monde. Mon parcours en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STIM) m’aide à comprendre ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Cet aspect est crucial lorsque j’accompagne des chercheurs et chercheuses lors des entretiens sur leurs travaux. En fait, j’aide à décrire leur travail de manière compréhensible pour tout le monde. J’utilise aussi plusieurs programmes informatiques et je travaille avec le langage HTML pour créer notre site Web et nos publications. 

Mon objectif est de créer des contenus qui intéressent le public. Comment rendre le précieux travail des scientifiques intéressant pour les autres? Ce n’est pas toujours facile. Surtout lorsqu’il s’agit de sujets scientifiques très particuliers. Le travail des scientifiques est d’une grande importance pour la société et notre connaissance croissante. Cependant, ce travail ne sert à rien si personne ne peut ni le comprendre ni comprendre les découvertes des scientifiques. 

Enfin, je travaille avec une équipe spécialisée en communication scientifique. Ces personnes travaillent sur l’actualité scientifique mondiale, les balados et des ressources pour d’autres scientifiques. Bien que je travaille de manière indépendante sur le programme « Science in the City », j’utilise autant que possible leurs opinions et expertises pour faire de ce projet une source de fierté. 

Je pensais savoir ce que je voulais faire lorsque j’ai commencé mon parcours professionnel. Pourtant, je n’ai cessé de me surprendre en découvrant ce que j’aimais. J’ai commencé à étudier le génie chimique, mais je détestais ça. J’ai donc changé pour la biologie, vu que j’aimais quand même l’aspect biologique des choses. J’y ai suivi un cours de laboratoire où je travaillais avec des plantes. J’ai trouvé cela génial! Alors, j’ai changé de voie une nouvelle fois. J’ai fait la transition des sciences médicales et biochimie aux sciences végétales. 

Pendant mes années d’université, j’ai développé une passion pour l’enseignement. J’ai réalisé que je ne voulais pas demeurer dans la recherche toute ma vie. J’ai donc à nouveau changé de voie. J’ai terminé avec une maîtrise plutôt qu’un doctorat. Puis, j’ai commencé à donner des cours à l’Université de la Colombie-Britannique. Mes domaines étaient les sciences végétales et la communication scientifique. C’était génial de travailler avec les étudiants et étudiantes. J’adorais voir leur confiance grandir au fur et à mesure de leur progression dans un cours. Après avoir travaillé avec des conférenciers et conférencières du département de journalisme dans le cadre de mon programme de communication scientifique, j’ai décidé que c’était ce que je voulais faire à plein temps. J’ai donc changé à nouveau d’orientation. Aujourd’hui, je travaille à temps plein dans la communication scientifique. 

Il peut être effrayant de faire autant de changements de carrière. Se lancer en terrain inconnu tout en laissant derrière soi des options plus sûres, c’est effrayant. Mais, je ne regrette pas de l’avoir fait. Savoir ce que l’on veut faire de sa vie et ce que l’on aime peut être un défi. Alors, lorsque ta voie se présente, n’aie pas peur de la suivre tant qu’elle continue à te servir. Et même si celle-ci cesse de fonctionner et que tu dois changer encore et encore, sache que ces péripéties sont riches d’enseignements. Elles t’aideront à trouver ta véritable voie au bout du compte. 

Mon travail avec « Science in the City » est particulièrement intéressant du point de vue de la communication scientifique. Je contribue à créer une communauté. Je pense que cette communauté est souvent négligée, car les gens se concentrent sur leur propre travail scientifique. Or, rien de grand n’existe dans le vide. Construire une communauté, avoir des discussions complexes et travailler ensemble sont les meilleurs moyens de produire une science qui a de l’impact et du sens. J’adore faire partie de ce processus. 

La science n’est utile que si d’autres peuvent la comprendre. Communiquer la science peut être un défi. C’est quelque chose qui prend du temps à maîtriser. C’est donc pour moi un grand plaisir d’aider à créer un pont entre la science et le grand public. Cela aide tout le monde à comprendre l’évolution de la science et son importance. 

Je joue au tennis, je lis et je regarde des films. Mon activité préférée est le camping! La nature en Colombie-Britannique est vraiment unique en son genre! J’essaie d’en profiter autant que possible. 

N’aie pas peur de publier tes écrits, peu importe ton insécurité à ce sujet. Lire les critiques peut s’avérer difficile. Pourtant, c’est le seul moyen d’améliorer ta communication et de susciter l’intérêt du public. Aujourd’hui encore, l’idée que des gens puissent lire ce que j’ai écrit suscite en moi un sentiment de nervosité. N’oublie jamais que tes mots ont de la valeur. 

Ce que je fais au travail

Je dirige le programme « Science in the City » (en anglais). Il s’agit d’un média de communication scientifique pour trois villes différentes : Boston, Seattle et Vancouver. « Science in the City » connecte les chercheurs et chercheuses ainsi que les scientifiques pour les aider à comprendre le travail des uns et des autres. Cela favorise la création de nouvelles collaborations et l’émergence d’une communauté scientifique locale et soudée. 

Mon travail consiste à sélectionner et créer des articles sur l’actualité scientifique locale à partager avec la communauté scientifique. Ensuite, je mène des entretiens avec des chercheurs et chercheuses à propos de leurs nouvelles publications. Je lis également des articles afin de choisir des travaux pertinents à partager avec les autres. Puis, je les publie sur les réseaux sociaux et le site Web. Je travaille également avec des graphistes pour créer de belles images et brochures. J’assiste à des événements scientifiques locaux et collabore avec des groupes scientifiques locaux pour promouvoir et organiser de nouveaux événements et projets. 

La majeure partie de mon travail repose sur ma capacité à comprendre les recherches des scientifiques et à rédiger des articles compréhensibles par tout le monde. Mon parcours en sciences, technologie, ingénierie et mathématiques (STIM) m’aide à comprendre ce qui est important et ce qui ne l’est pas. Cet aspect est crucial lorsque j’accompagne des chercheurs et chercheuses lors des entretiens sur leurs travaux. En fait, j’aide à décrire leur travail de manière compréhensible pour tout le monde. J’utilise aussi plusieurs programmes informatiques et je travaille avec le langage HTML pour créer notre site Web et nos publications. 

Mon objectif est de créer des contenus qui intéressent le public. Comment rendre le précieux travail des scientifiques intéressant pour les autres? Ce n’est pas toujours facile. Surtout lorsqu’il s’agit de sujets scientifiques très particuliers. Le travail des scientifiques est d’une grande importance pour la société et notre connaissance croissante. Cependant, ce travail ne sert à rien si personne ne peut ni le comprendre ni comprendre les découvertes des scientifiques. 

Enfin, je travaille avec une équipe spécialisée en communication scientifique. Ces personnes travaillent sur l’actualité scientifique mondiale, les balados et des ressources pour d’autres scientifiques. Bien que je travaille de manière indépendante sur le programme « Science in the City », j’utilise autant que possible leurs opinions et expertises pour faire de ce projet une source de fierté. 

Mon parcours

Je pensais savoir ce que je voulais faire lorsque j’ai commencé mon parcours professionnel. Pourtant, je n’ai cessé de me surprendre en découvrant ce que j’aimais. J’ai commencé à étudier le génie chimique, mais je détestais ça. J’ai donc changé pour la biologie, vu que j’aimais quand même l’aspect biologique des choses. J’y ai suivi un cours de laboratoire où je travaillais avec des plantes. J’ai trouvé cela génial! Alors, j’ai changé de voie une nouvelle fois. J’ai fait la transition des sciences médicales et biochimie aux sciences végétales. 

Pendant mes années d’université, j’ai développé une passion pour l’enseignement. J’ai réalisé que je ne voulais pas demeurer dans la recherche toute ma vie. J’ai donc à nouveau changé de voie. J’ai terminé avec une maîtrise plutôt qu’un doctorat. Puis, j’ai commencé à donner des cours à l’Université de la Colombie-Britannique. Mes domaines étaient les sciences végétales et la communication scientifique. C’était génial de travailler avec les étudiants et étudiantes. J’adorais voir leur confiance grandir au fur et à mesure de leur progression dans un cours. Après avoir travaillé avec des conférenciers et conférencières du département de journalisme dans le cadre de mon programme de communication scientifique, j’ai décidé que c’était ce que je voulais faire à plein temps. J’ai donc changé à nouveau d’orientation. Aujourd’hui, je travaille à temps plein dans la communication scientifique. 

Il peut être effrayant de faire autant de changements de carrière. Se lancer en terrain inconnu tout en laissant derrière soi des options plus sûres, c’est effrayant. Mais, je ne regrette pas de l’avoir fait. Savoir ce que l’on veut faire de sa vie et ce que l’on aime peut être un défi. Alors, lorsque ta voie se présente, n’aie pas peur de la suivre tant qu’elle continue à te servir. Et même si celle-ci cesse de fonctionner et que tu dois changer encore et encore, sache que ces péripéties sont riches d’enseignements. Elles t’aideront à trouver ta véritable voie au bout du compte. 

Ce qui me motive

Mon travail avec « Science in the City » est particulièrement intéressant du point de vue de la communication scientifique. Je contribue à créer une communauté. Je pense que cette communauté est souvent négligée, car les gens se concentrent sur leur propre travail scientifique. Or, rien de grand n’existe dans le vide. Construire une communauté, avoir des discussions complexes et travailler ensemble sont les meilleurs moyens de produire une science qui a de l’impact et du sens. J’adore faire partie de ce processus. 

Comment j’influence la vie des gens

La science n’est utile que si d’autres peuvent la comprendre. Communiquer la science peut être un défi. C’est quelque chose qui prend du temps à maîtriser. C’est donc pour moi un grand plaisir d’aider à créer un pont entre la science et le grand public. Cela aide tout le monde à comprendre l’évolution de la science et son importance. 

En dehors du travail, je

Je joue au tennis, je lis et je regarde des films. Mon activité préférée est le camping! La nature en Colombie-Britannique est vraiment unique en son genre! J’essaie d’en profiter autant que possible. 

Mon conseil aux autres

N’aie pas peur de publier tes écrits, peu importe ton insécurité à ce sujet. Lire les critiques peut s’avérer difficile. Pourtant, c’est le seul moyen d’améliorer ta communication et de susciter l’intérêt du public. Aujourd’hui encore, l’idée que des gens puissent lire ce que j’ai écrit suscite en moi un sentiment de nervosité. N’oublie jamais que tes mots ont de la valeur. 

Durant mon parcours scolaire, j'appréciais les sujets suivants :

  • Arts visuels
  • Littérature et langue
  • Sciences
  • Musique

Durant mon parcours scolaire , je me décrirais comme une personne qui :

  • Aidait les gens à se rapprocher
  • Voulait toujours sortir dehors
  • Aimait aider les autres
  • Organisait des activités pour ses amis
  • Faisait partie d’une équipe sportive
  • Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
  • S’impliquait dans des activités de bénévolat
  • Aimait travailler avec ses mains
  • Aimait recevoir des instructions précises
  • S’impliquait dans des activités de bénévolat
  • Aimait la lecture
  • Aimait démonter les objets pour comprendre comment ils fonctionnaient
  • Ressentait une intense satisfaction lorsqu’elle obtenait de bonnes notes
  • A toujours su ce qu’elle voulait faire plus tard
  • Était très créative
  • headshot of Sarra Filali

    Sarra Filali

    Profils de carrière

    Doctorante

    Je suis étudiante en doctorat, spécialité science, technologie et société, et je prépare une thèse dans le domaine de la technologie éducative.
  • Hugo Asselin headshot

    Hugo Asselin (il)

    Profils de carrière

    Professeur titulaire

    Je fais des recherches et j’enseigne à l’université.
  • Charles Bricout headshot

    Charles Bricout (il)

    Profils de carrière

    Maîtrise ès sciences appliquées

    Je suis étudiant chercheur, mon parcours comprend un gros projet de recherche supervisé par un professeur.
  • portrait par Lisa Hagen

    Lisa Hagen

    Profils de carrière

    Spécialiste des facteurs humains et organisationnels

    J’étudie la relation entre les humains et les systèmes avec lesquels ils interagissent en milieu de travail.
  • portrait par Jessica Rideout

    Jessica Rideout

    Profils de carrière

    Responsable de la conformité des matériaux de carrière

    J’inspecte les carrières pour m’assurer qu’elles sont exploitées conformément aux réglementations provinciales.
  • portrait par Winston Campeau

    Winston Campeau

    Profils de carrière

    Doctorant (biologie évolutive)

    Je termine actuellement mon doctorat en biologie évolutive. Il s’agit d’un mélange d’enseignement et de recherche, tous deux centrés sur le thème de l’évolution. Cependant, je fonctionne différemment de la plupart des biologistes évolutionnistes, car j’utilise des simulations et des mathématiques.
  • Gros plan d'un homme d'affaires utilisant une calculatrice et un téléphone portable pour faire des calculs financiers sur un bureau en bois dans un bureau et un arrière-plan de travail commercial

    Petter Wiberg (il)

    Profils de carrière

    Directeur général

    Je travaille à la BMO au sein du groupe Marchés des capitaux. Les directeurs généraux et directrices générales sont des opérateurs de marché expérimentés, des vendeurs et des développeurs quantitatifs responsables d’une équipe au sein du groupe.
  • portrait par Katie Mack

    Katie Mack (elle)

    Profils de carrière

    Chaire Hawking en cosmologie et communication scientifique

    J’étudie la physique fondamentale de l’univers.
  • portrait par Kenzie Arnott

    Kenzie Arnott

    Profils de carrière

    Responsable du programme « Science in the City »

    Je dirige un programme de communication scientifique dans trois villes différentes. Le but est de connecter les scientifiques afin de les aider à comprendre les spécialités des uns et des autres.
  • portrait par Jose Chiriboga

    Jose Chiriboga (il)

    Profils de carrière

    Associé principal au soutien scientifique

    Mon équipe et moi créons et animons des programmes de formation illustrant les diverses manières d’utiliser nos produits afin de faciliter la recherche scientifique et l’innovation.
  • Genny Marcoux debout devant un fond de fleurs artificielles roses et blanches de taille humaine.

    Genny Marcoux

    Profils de carrière

    Responsable de l’infrastructure et de la sécurité

    Je dirige une équipe experte chargée de créer un environnement sécurisé pour l’équipe de développement de cours, permettant à la clientèle de se familiariser avec nos produits et d’apprendre la cybersécurité.
  • portrait par Gordon Martell

    Gordon Martell (il)

    Profils de carrière

    Professeur adjoint

    J’enseigne aux étudiants et étudiantes du postsecondaire à devenir des leaders dans les écoles et autres organisations.