
Ryan Mitchell


À propos de moi
Je suis né/j’ai grandi à : Je suis né à Kamloops, en Colombie-Britannique, au Canada.
J’habite désormais : J’habite actuellement à Ladysmith, en Colombie-Britannique, au Canada.
J’ai fait ma formation ou mes études à : J’ai terminé mes études à l’Université de l’île de Vancouver.
Ce que je fais au travail
En tant que superviseur d’écloserie chez Mowi Canada West, mon travail varie d’une journée à l’autre. Mon quotidien dépend du nombre de poissons que nous avons, et de l’étape du cycle dans lequel ils se trouvent. En général, je dois nettoyer et entretenir le site, et nourrir les poissons. Je collecte également des renseignements sur les poissons. Je trouve de nouvelles façons de faire les choses plus efficacement pour améliorer la situation des poissons.
Sur place, nous utilisons toutes sortes d’équipements très cool. Par exemple, des pompes, des compresseurs d’oxygène et des générateurs. Nous utilisons aussi des séparateurs d’air, une machine à ozone, des colonnes d’oxygénation, etc. Les équipements sont pour la plupart automatisés. D’une manière ou d’une autre, ces équipements ont tous une incidence sur l’ensemble du système.
Comme nous travaillons à un endroit éloigné dans le Nord, nous devons être capables de réfléchir rapidement. Nous sommes les seules personnes à pouvoir résoudre les problèmes. Il n’y a nulle part où aller pour obtenir des pièces en cas de bris. Nous devons être capables de réparer et de régler les problèmes d’équipements. Pour ce faire, nous devons avoir une connaissance approfondie de la manière dont tous ces équipements interagissent avec l’environnement du poisson. Pour accomplir ce travail, il faut savoir comment l’équipement fonctionne. Nous devons soit réparer l’équipement ou trouver un autre moyen de régler le problème nous-mêmes.
Travailler sur un site éloigné est très intéressant et permet d’apprendre constamment. Mon travail a lieu pendant plusieurs jours sur un chantier éloigné. J’habite donc sur le lieu de travail dans des logements construits pour les travailleuses et les travailleurs. Heureusement, l’équipe avec laquelle je travaille est géniale! C’est comme une seconde famille. Chaque jour, nous avons l’occasion de travailler ensemble.
Mon parcours
Quand j’étais au secondaire, je ne savais même pas que l’aquaculture existait. Je suis tombé sur un programme par hasard. J’ai étudié en pêches et aquaculture à l’Université de l’île de Vancouver. Pendant mes études, j’ai effectué plusieurs stages à différents sites d’aquaculture. Il s’agissait d’écloseries de mollusques et d’écloseries de mise en valeur du gouvernement. J’ai également fait beaucoup de bénévolat en réalisant des travaux environnementaux pour l’habitat du saumon. Jamais je n’aurais pensé devenir pisciculteur, mais je suis bien content de l’être!
Ce qui me motive
Quand je suis au travail, je suis toujours enthousiaste. J’effectue des tâches intéressantes et j’ai de nombreuses occasions d’apprendre. L’aquaculture est une industrie qui s’appuie sur la science. J’ai l’occasion de découvrir toutes sortes de nouvelles technologies pour élever des poissons. Nous utilisons un large éventail d’équipements que les gens essaient constamment d’améliorer. Dans cette carrière, j’ai toujours l’occasion d’apprendre de nouvelles choses, surtout sur la santé et la biologie des poissons. Je suis toujours fasciné par les progrès que nous réalisons.
Comment j’influence la vie des gens
Après chaque journée de travail, j’ai le sentiment d’avoir accompli quelque chose. Je peux constater la qualité du poisson que j’élève et être fier de ce que je fais. J’élève des poissons pour nourrir les gens du monde entier. Dans le monde d’aujourd’hui, mon travail est très important. Il procure de la nourriture à bas prix et respectueuse de l’environnement. Cela affecte les gens de partout sur la planète. L’industrie pour laquelle je travaille permet aux gens d’avoir accès à une source de protéines durable. Malheureusement, beaucoup de gens ont encore du mal à avoir accès à une telle source de protéines.
En dehors du travail, je
En dehors du travail, j’aime faire du camping, du canoë, de la pêche et construire des terrariums personnalisés. J’aime aussi être à la maison et me détendre. Je suis bénévole pour différents groupes impliqués dans la restauration de l’habitat du saumon.
Mon conseil aux autres
Si tu t’intéresses à une carrière similaire, et même si tu n’es pas sûr que cette carrière soit pour toi, tu as le temps de l’essayer. De nombreuses industries soutiennent l’aquaculture. Peut-être que tu pourrais aimer travailler pour l’une d’entre elles. Ce conseil s’applique à toutes les industries. Tu pourrais éventuellement découvrir quelque chose que tu aimes encore plus.
- Arts visuels
- Histoire
- Sciences
- Technologie
- Informatique
- Musique
- Appréciait travailler seul
- Voulait toujours sortir dehors
- Aimait aider les autres
- Aimait travailler avec ses mains
- Était motivé par le succès
- Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
- Ne voulait jamais être en classe
- N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard
- Aimait démonter les objets pour comprendre comment ils fonctionnaient
- Aimait concevoir ou fabriquer des objets
- Apprenait en expérimentant
- Participait à des activités telles la pêche, la cueillette de petits fruits et la chasse
Sujets connexes
Les partenaires
L’équipe de Parlons sciences tient à remercier l’Alliance de l’industrie canadienne de l’aquaculture (AICA) pour l’avoir mise en contact avec les personnes nommées ci-dessous.
L’Alliance de l’industrie canadienne de l’aquaculture est une association nationale parlant au nom des éleveurs de fruits de mer canadiens, représentant leurs intérêts à Ottawa auprès des organismes de régulation, des personnes qui rédigent des politiques et des dirigeants politiques. Consultez son site Web pour en savoir davantage sur l’industrie de l’aquaculture au Canada, sur la façon dont cette industrie contribue à une production alimentaire durable et sur les avantages liés au fait de manger des fruits de mer.