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Vincent Scully sur une plage près de St. Andrews, Nouveau-Brunswick

Vincent Scully sur une plage près de St. Andrews, Nouveau-Brunswick

Vincent Scully (il)

Communicateur en environnement

À propos de ma carrière

J’aide les communautés à prendre des mesures qui auront des impacts positifs sur l’environnement.

Je suis né/j’ai grandi à : Québec

J’habite désormais : Nouveau-Brunswick

J’ai fait ma formation ou mes études à : J’ai obtenu un baccalauréat ès arts en études de l’environnement et géographie à l’Université Bishop’s (en anglais).

Ce que je fais dépend de mon rôle. Parfois, je recueille des données sur le terrain. Il peut s’agir de prélever des échantillons d’eau pour l’analyse de la qualité de l’eau. Je travaille souvent sur le programme de médias sociaux de l’organisation ou j’apporte du soutien. J’aide à communiquer des idées et des informations complexes, à faire de la recherche et à rédiger des rapports.

Quand j’étais à l’école, je ne savais pas ce que je voulais faire. J’ai grandi au Québec et j’ai suivi le programme d’études collégiales où j’ai étudié l’histoire. Lorsque j’ai terminé, je me suis posé des questions sur ce que je devais faire ensuite. Mes professeur.e.s ont suggéré que, avec mon intérêt pour l’histoire, je pourrais devenir enseignant. Mais cela ne m’intéressait pas. Je n’étais pas très fort dans les domaines scientifiques, mais je m’intéressais à l’environnement. Certain.e.s de mes professeur.e.s de cégep estimaient que je ne serais pas en mesure de suivre un programme universitaire. J’ai examiné différents programmes et j’en ai trouvé un à l’Université Bishop’s qui m’intéressait. Ce programme n’était pas axé sur les aspects scientifiques des questions environnementales. Il couvrait différentes questions environnementales et la manière de communiquer ces sujets au public. Nous avons étudié les problématiques liées aux changements climatiques, à la pollution et à d’autres effets anthropiques sur l’environnement. 

Après l’obtention de mon diplôme, j’ai commencé à chercher du travail. J’ai vraiment aimé mon programme et je voulais continuer à travailler dans ce domaine. J’ai postulé pour plus de 100 postes différents, sans succès. La réponse la plus fréquente était que j’avais besoin de plus d’expérience. J’avais de la famille au Nouveau-Brunswick, alors j’ai décidé de chercher du travail là-bas. De plus, je ne voulais pas être trop loin de chez moi.  

J’ai obtenu mon premier emploi comme assistant de recherche pour une équipe en développement durable. Dans ce poste, j’étais responsable de nos communications sur les médias sociaux. Mon objectif était d’informer le public sur ce que l’équipe faisait concernant les moyens d’apporter des changements afin de s’adapter aux changements climatiques, et de susciter chez les gens un intérêt pour cette question. J’ai écrit et publié des histoires sur ce que faisait l’équipe. Dans l’ensemble, j’ai aimé le travail, mais c’était surtout un travail de bureau. Je voulais travailler à l’extérieur et avec des gens du public.  

À la fin de mon contrat, j’ai recommencé à chercher du travail. J’ai déménagé à Saint John, au Nouveau-Brunswick, où j’ai obtenu un emploi au sein du Programme d’action des zones côtières de l’Atlantique (ACAP, Atlantic Coastal Action Program), à Saint John. L’ACAP (en anglais) est un programme qui aide les gens à restaurer et à maintenir les bassins hydrographiques et les zones côtières. J’ai vraiment apprécié ce travail! J’ai eu l’occasion de rencontrer le public et de travailler à l’extérieur, sur le terrain. J’ai participé à la surveillance et à l’inspection des poissons dans les cours d’eau, au prélèvement d’échantillons d’eau et à l’analyse de la qualité de l’eau, etc. J’ai également aidé en donnant un enseignement sur les changements climatiques à des jeunes du secondaire. Je me rendais dans les salles de classe pour les amener à déterminer ce qui leur est possible de faire si leur souhait est de s’engager.  

Lorsque mon contrat avec l’ACAP a pris fin, j’ai obtenu un emploi au Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick. J’ai fait du travail sur le terrain (principalement de l’échantillonnage d’eau) et j’ai fait de la recherche sur des questions environnementales. J’ai participé à la rédaction de rapports et de contenu pour les médias sociaux, ainsi qu’à la planification d’événements. J’ai vraiment apprécié le fait de travailler avec les Premières Nations locales, car cela m’a aidé à voir les choses sous un autre angle. 

Je suis présentement à la recherche de ma prochaine expérience de travail. Entre-temps, je fais du bénévolat auprès de groupes dans ce domaine. Un groupe avec lequel je travaille est le Projet de la réalité climatique Canada. Le bénévolat est un excellent moyen d’acquérir de l’expérience, de rencontrer de nouvelles personnes et de redonner à la communauté.

J’aime le fait que mon travail redonne vraiment à la collectivité. Avoir l’occasion d’aider les autres à avoir un impact positif est un sentiment formidable. Il pourrait s’agir de la plantation d’arbres, du nettoyage des déchets, etc. Le fait que mon travail contribue à embellir la ville autour de soi est satisfaisant.

Je ne suis pas un scientifique, alors je ne fais pas de recherche qui permettra  d’enrichir notre compréhension de problématiques comme les changements climatiques. Mon travail consiste à aider à communiquer des idées complexes sur des sujets comme les changements climatiques. Mon travail est important parce qu’il contribue à rassembler la communauté autour de questions environnementales importantes. J’aide à transmettre de l’information au public et j’aide les gens à déterminer ce qu’ils et elles peuvent faire pour contrer les effets des changements climatiques. Je les aide à déterminer les actions possibles, puis à les mettre en œuvre. Par exemple, planter des arbres pour contribuer à résoudre les problèmes climatiques tels que les dômes de chaleur dans les zones urbaines. Lorsque je travaillais avec des élèves, c’était formidable de constater leur intérêt à poser des gestes en faveur de la lutte contre les changements climatiques. C’était très satisfaisant de les amener à comprendre qu’il était faux de croire qu’il leur était impossible d’avoir un impact du simple fait d’être jeunes.

J’aime faire de la randonnée et des promenades en ville. J’adore être près de l’océan, observer les bateaux et sentir l’odeur fraîche que tu ne trouves nulle part ailleurs. J’adore observer les animaux marins comme les baleines. Être dehors dans l’environnement aide à se détendre et à oublier ses problèmes.  

Ne t’inquiète pas si tu prends plus de temps pour terminer un programme. Mon programme devait durer trois ans, mais j’ai pris un an de plus pour le terminer. Cela m’a donné plus de temps pour travailler sur mes études.  

Lorsque tu cherches du travail, tu devras peut-être accepter un emploi qui ne correspond pas exactement à ce que tu recherches. Ne t’inquiète pas, parce que cela t’aidera à long terme. Chaque emploi que tu occupes te permet d’apprendre et d’acquérir de l’expérience. Mais assure-toi que les emplois que tu acceptes correspondent à tes croyances et à tes convictions. Si tu ne crois pas en l’organisation ou l’entreprise, tu ne tireras pas de satisfaction du travail que tu y fais.

Ce que je fais au travail

Ce que je fais dépend de mon rôle. Parfois, je recueille des données sur le terrain. Il peut s’agir de prélever des échantillons d’eau pour l’analyse de la qualité de l’eau. Je travaille souvent sur le programme de médias sociaux de l’organisation ou j’apporte du soutien. J’aide à communiquer des idées et des informations complexes, à faire de la recherche et à rédiger des rapports.

Mon parcours

Quand j’étais à l’école, je ne savais pas ce que je voulais faire. J’ai grandi au Québec et j’ai suivi le programme d’études collégiales où j’ai étudié l’histoire. Lorsque j’ai terminé, je me suis posé des questions sur ce que je devais faire ensuite. Mes professeur.e.s ont suggéré que, avec mon intérêt pour l’histoire, je pourrais devenir enseignant. Mais cela ne m’intéressait pas. Je n’étais pas très fort dans les domaines scientifiques, mais je m’intéressais à l’environnement. Certain.e.s de mes professeur.e.s de cégep estimaient que je ne serais pas en mesure de suivre un programme universitaire. J’ai examiné différents programmes et j’en ai trouvé un à l’Université Bishop’s qui m’intéressait. Ce programme n’était pas axé sur les aspects scientifiques des questions environnementales. Il couvrait différentes questions environnementales et la manière de communiquer ces sujets au public. Nous avons étudié les problématiques liées aux changements climatiques, à la pollution et à d’autres effets anthropiques sur l’environnement. 

Après l’obtention de mon diplôme, j’ai commencé à chercher du travail. J’ai vraiment aimé mon programme et je voulais continuer à travailler dans ce domaine. J’ai postulé pour plus de 100 postes différents, sans succès. La réponse la plus fréquente était que j’avais besoin de plus d’expérience. J’avais de la famille au Nouveau-Brunswick, alors j’ai décidé de chercher du travail là-bas. De plus, je ne voulais pas être trop loin de chez moi.  

J’ai obtenu mon premier emploi comme assistant de recherche pour une équipe en développement durable. Dans ce poste, j’étais responsable de nos communications sur les médias sociaux. Mon objectif était d’informer le public sur ce que l’équipe faisait concernant les moyens d’apporter des changements afin de s’adapter aux changements climatiques, et de susciter chez les gens un intérêt pour cette question. J’ai écrit et publié des histoires sur ce que faisait l’équipe. Dans l’ensemble, j’ai aimé le travail, mais c’était surtout un travail de bureau. Je voulais travailler à l’extérieur et avec des gens du public.  

À la fin de mon contrat, j’ai recommencé à chercher du travail. J’ai déménagé à Saint John, au Nouveau-Brunswick, où j’ai obtenu un emploi au sein du Programme d’action des zones côtières de l’Atlantique (ACAP, Atlantic Coastal Action Program), à Saint John. L’ACAP (en anglais) est un programme qui aide les gens à restaurer et à maintenir les bassins hydrographiques et les zones côtières. J’ai vraiment apprécié ce travail! J’ai eu l’occasion de rencontrer le public et de travailler à l’extérieur, sur le terrain. J’ai participé à la surveillance et à l’inspection des poissons dans les cours d’eau, au prélèvement d’échantillons d’eau et à l’analyse de la qualité de l’eau, etc. J’ai également aidé en donnant un enseignement sur les changements climatiques à des jeunes du secondaire. Je me rendais dans les salles de classe pour les amener à déterminer ce qui leur est possible de faire si leur souhait est de s’engager.  

Lorsque mon contrat avec l’ACAP a pris fin, j’ai obtenu un emploi au Conseil de conservation du Nouveau-Brunswick. J’ai fait du travail sur le terrain (principalement de l’échantillonnage d’eau) et j’ai fait de la recherche sur des questions environnementales. J’ai participé à la rédaction de rapports et de contenu pour les médias sociaux, ainsi qu’à la planification d’événements. J’ai vraiment apprécié le fait de travailler avec les Premières Nations locales, car cela m’a aidé à voir les choses sous un autre angle. 

Je suis présentement à la recherche de ma prochaine expérience de travail. Entre-temps, je fais du bénévolat auprès de groupes dans ce domaine. Un groupe avec lequel je travaille est le Projet de la réalité climatique Canada. Le bénévolat est un excellent moyen d’acquérir de l’expérience, de rencontrer de nouvelles personnes et de redonner à la communauté.

Ce qui me motive

J’aime le fait que mon travail redonne vraiment à la collectivité. Avoir l’occasion d’aider les autres à avoir un impact positif est un sentiment formidable. Il pourrait s’agir de la plantation d’arbres, du nettoyage des déchets, etc. Le fait que mon travail contribue à embellir la ville autour de soi est satisfaisant.

Comment j’influence la vie des gens

Je ne suis pas un scientifique, alors je ne fais pas de recherche qui permettra  d’enrichir notre compréhension de problématiques comme les changements climatiques. Mon travail consiste à aider à communiquer des idées complexes sur des sujets comme les changements climatiques. Mon travail est important parce qu’il contribue à rassembler la communauté autour de questions environnementales importantes. J’aide à transmettre de l’information au public et j’aide les gens à déterminer ce qu’ils et elles peuvent faire pour contrer les effets des changements climatiques. Je les aide à déterminer les actions possibles, puis à les mettre en œuvre. Par exemple, planter des arbres pour contribuer à résoudre les problèmes climatiques tels que les dômes de chaleur dans les zones urbaines. Lorsque je travaillais avec des élèves, c’était formidable de constater leur intérêt à poser des gestes en faveur de la lutte contre les changements climatiques. C’était très satisfaisant de les amener à comprendre qu’il était faux de croire qu’il leur était impossible d’avoir un impact du simple fait d’être jeunes.

En dehors du travail, je

J’aime faire de la randonnée et des promenades en ville. J’adore être près de l’océan, observer les bateaux et sentir l’odeur fraîche que tu ne trouves nulle part ailleurs. J’adore observer les animaux marins comme les baleines. Être dehors dans l’environnement aide à se détendre et à oublier ses problèmes.  

Mon conseil aux autres

Ne t’inquiète pas si tu prends plus de temps pour terminer un programme. Mon programme devait durer trois ans, mais j’ai pris un an de plus pour le terminer. Cela m’a donné plus de temps pour travailler sur mes études.  

Lorsque tu cherches du travail, tu devras peut-être accepter un emploi qui ne correspond pas exactement à ce que tu recherches. Ne t’inquiète pas, parce que cela t’aidera à long terme. Chaque emploi que tu occupes te permet d’apprendre et d’acquérir de l’expérience. Mais assure-toi que les emplois que tu acceptes correspondent à tes croyances et à tes convictions. Si tu ne crois pas en l’organisation ou l’entreprise, tu ne tireras pas de satisfaction du travail que tu y fais.

Durant mon parcours scolaire, j'appréciais les sujets suivants :

  • Arts visuels
  • Arts dramatiques
  • Géographie
  • Histoire
  • Littérature et langue
  • Musique
  • Sciences
  • Technologie

Durant mon parcours scolaire , je me décrirais comme une personne qui :

  • Était motivé par le succès
  • Aimait la lecture
  • Se sentait à l'aise dans l'environnement extérieur et naturel
  • N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard
  • Participait à des activités telles la pêche, la cueillette et de petits fruits
  • Ressentait une intense satisfaction lorsqu’elle obtenait de bonnes notes
  • portrait par Kenzie Arnott

    Kenzie Arnott

    Profils de carrière

    Responsable du programme « Science in the City »

    Je dirige un programme de communication scientifique dans trois villes différentes. Le but est de connecter les scientifiques afin de les aider à comprendre les spécialités des uns et des autres.
  • portrait par Jose Chiriboga

    Jose Chiriboga (il)

    Profils de carrière

    Associé principal au soutien scientifique

    Mon équipe et moi créons et animons des programmes de formation illustrant les diverses manières d’utiliser nos produits afin de faciliter la recherche scientifique et l’innovation.
  • Genny Marcoux debout devant un fond de fleurs artificielles roses et blanches de taille humaine.

    Genny Marcoux

    Profils de carrière

    Responsable de l’infrastructure et de la sécurité

    Je dirige une équipe experte chargée de créer un environnement sécurisé pour l’équipe de développement de cours, permettant à la clientèle de se familiariser avec nos produits et d’apprendre la cybersécurité.
  • portrait par Gordon Martell

    Gordon Martell (il)

    Profils de carrière

    Professeur adjoint

    J’enseigne aux étudiants et étudiantes du postsecondaire à devenir des leaders dans les écoles et autres organisations.
  • Nancy Rogers debout sur un affleurement rocheux où elle prospecte des minéraux. Encadré : Roche de labradorite coupée pour exposer les motifs de couleur.

    Nancy Rogers

    Profils de carrière

    Prospectrice professionnelle et artisane

    Je me rends dans des régions reculées à la recherche de minéraux et de cristaux.
  • portrait par Marianne Parent

    Marianne Parent (elle)

    Profils de carrière

    Vétérinaire / Candidate au doctorat en épidémiologie vétérinaire,

    Je suis une docteure pour les chats et les chiens, ainsi que pour certains autres animaux comme les perroquets et les lapins. Je fais aussi de la recherche sur un parasite du saumon d’élevage.
  • portrait par Ali Ashrafi

    Ali Ashrafi (il)

    Profils de carrière

    Candidat au doctorat

    Je suis inscrit dans un programme de doctorat en sciences humaines.
  • portrait par Olivia Ivany

    Olivia Ivany

    Profils de carrière

    Technologue en échographie diagnostique

    J’effectue différents types d’échographies sur l'ensemble du corps.
  • portrait par Rashell Featherstone

    Rashell Featherstone (elle)

    Profils de carrière

    Associée principale au programme

    Je coordonne des projets pour le développement de nouveaux produits chez STEMCELL.
  • portrait par Tyler Morhart

    Tyler Morhart (il)

    Profils de carrière

    Scientifique, responsable de la ligne de faisceaux – SyLMAND

    Je fais partie du personnel scientifique à l’installation de rayonnement synchrotron du Centre canadien de rayonnement synchrotron. Je suis responsable de la ligne de faisceaux de SyLMAND.
  • portrait parMohamd Imad

    Mohamd Imad

    Profils de carrière

    Spécialiste de l’étalonnage des systèmes de diagnostic et de contrôle des véhicules

    Je travaille sur l’électronique, le câblage et les logiciels des véhicules extraordinaires de General Motors.
  • Brianna Lummerding à genoux près d’un cerceau en plastique collectant des échantillons dans un champ herbeux.

    Brianna Lummerding

    Profils de carrière

    Responsable de l’innovation agronomique

    Je m’occupe de tout ce qui concerne la gestion des sols pour un groupe de détaillants et détaillantes.