Chiara Toselli au travail dans un laboratoire
Chiara Toselli au travail dans un laboratoire
Je suis né/j’ai grandi à : Vancouver, en Colombie-Britannique.
J’habite désormais :Vancouver, en Colombie-Britannique.
J’ai fait ma formation ou mes études à : Université de Calgary et Université de la Colombie-Britannique.
Je mène des expériences et dirige les activités quotidiennes du laboratoire. Il s’agit notamment de m’occuper des installations de recherches animales, de trouver des solutions, etc. J’utilise quotidiennement mes compétences en résolution de problèmes, en travail d’équipe et en communication. J’utilise plusieurs types d’équipements spécialisés, comme des microscopes, des centrifugeuses et des instruments de microinjections. Je participe souvent à de la résolution de problèmes, par exemple, lorsque je tente de comprendre comment mes données correspondent aux résultats qui ont déjà été publiés. De plus, je dois souvent optimiser et modifier les procédures.
Je prends des décisions 1) en cernant le problème, 2) en essayant de trouver ce qui a déjà été fait pour résoudre ce problème et 3) en tenant compte de toutes les solutions possibles pour cette décision (les pour et les contre). Ma formation en STIM a certainement influencé la façon dont je prends mes décisions. C’est d’autant plus vrai pour la partie recherche du processus décisionnel. C’est aussi important pour cerner les limites des décisions. Comme je travaille dans un laboratoire, la collaboration est essentielle à son bon fonctionnement. J’interagis avec mes collègues de manière professionnelle et amicale.
Pendant mon baccalauréat, j’ai travaillé dans un laboratoire au cours l’été. J’aimais beaucoup ça. J’étais motivée par l’environnement stimulant et j’étais fébrile de faire potentiellement une nouvelle découverte.
Ce qui est le plus stimulant de ma carrière, c’est de concevoir des expériences. Je peux être créative. Par exemple, je cerne le problème (c’est-à-dire le manque de connaissances sur le fonctionnement d’un processus au niveau cellulaire), puis j’essaie de trouver la meilleure expérience possible pour combler ce manque de connaissances. J’aime aussi l’aspect rédactionnel des expériences. Comme rédiger l’introduction, les justifications, le plan d’expérience et enfin les résultats.
Ma carrière est pertinente et enrichissante, car mes données peuvent servir à améliorer nos pratiques cliniques sur le diabète. Compte tenu de l’ampleur de la maladie en Amérique du Nord, une carrière en recherche sur le diabète est très épanouissante.
Je joue au volleyball de plage et j’aime courir (je m’entraîne actuellement pour un marathon). Je me suis aussi impliquée auprès de Parlons sciences et de StemCellTalks à Vancouver.
Ce que je dirais à une jeune personne, c’est : essaie-le! La meilleure façon de savoir si tu aimerais une carrière en science est de faire du bénévolat dans un laboratoire ou dans une entreprise pharmaceutique.
