Timothy Burkhart
![Timothy Burkhart | Peace River Break Coordinator Timothy Burkhart | Coordonnateur à Peace River Break](/sites/default/files/5129_13.jpg)
![Timothy Burkhart | Peace River Break Coordinator Timothy Burkhart | Coordonnateur à Peace River Break](/sites/default/files/5129_13.jpg)
À propos de moi
I was born/grew up in: Vancouver, BC, Canada
I now live in: Chetwynd, BC, Canada
I completed my training/education at: I did a BA in History and Political Science at the University of British Columbia. I followed with a Masters in Environmental Studies and Natural Resources at the University of Northern British Columbia.
Je suis né/j’ai grandi à : Vancouver, Colombie-Britannique
J’habite désormais : Chetwynd, Colombie-Britannique
J’ai fait ma formation ou mes études à : J’ai fait un baccalauréat en histoire et en sciences politiques à l’Université de la Colombie-Britannique. J’ai ensuite poursuivi avec une maîtrise en études environnementales et ressources naturelles à l'Université du Nord de la Colombie-Britannique (UNBC).
Ce que je fais au travail
Je passe la plupart de mon temps à relier les gens et les idées. Je travaille avec des communautés pour déterminer les bons projets qui contribueront à la progression de la conservation dans le Nord-Est de la Colombie-Britannique. Ensuite, je les aide à réunir le financement, la science et la capacité pour réaliser le travail. J’aide à la rédaction des propositions afin d’obtenir des fonds pour les projets communautaires. Je travaille aussi avec les Premières Nations pour nous assurer de l’alignement de notre travail sur leurs droits issus de traités et pour établir des liens avec le gouvernement afin de résoudre des problèmes complexes de conservation.
Je fais aussi beaucoup de cartographie, puisque la conservation est une question de territoire. À cette fin, j’utilise un programme de cartographie assistée par ordinateur appelé ArcGIS – système d’information géographique ou SIG (de l’anglais Geographic Information Systems; GIS). Le SIG est un outil puissant pour aider à résoudre des problèmes de conservation. Voici certains des problèmes de conservation sur lesquels je travaille : déterminer où les animaux sauvages, comme les caribous, ont besoin de se déplacer pour la nourriture et pour l’accouplement, et quelles barrières, comme des mines, des routes ou des sites d’exploitation forestière, se trouvent sur leur chemin. Je prends des décisions qui s’appuient sur les priorités. Par exemple, quels projets devraient bénéficier de soutien, de temps et d’argent pour leur réalisation.
J’ai une vision communautaire à laquelle mon travail est arrimé et je m’assure que tous nos projets s’inscrivent dans cette vision. Je travaille à distance avec mes collègues qui travaillent principalement dans d’autres régions en Amérique du Nord. La plupart du temps, je communique avec eux en ligne par Skype et par courriel. Je lis beaucoup de rapports et de documents de recherche pour comprendre la biologie de la conservation qui sous-tend le travail que nous faisons.
Mon parcours
J’ai fait mes études de premier cycle en histoire et en sciences politiques, ce qui m’a permis d’acquérir les compétences en recherche, en rédaction et en pensée critique pour réussir dans presque tous les domaines. Je n’avais pas de carrière précise en tête, et j’ai été embauché comme spécialiste de la recherche historique après avoir obtenu mon diplôme. J’ai travaillé sur une étude sur le déclin du saumon rouge dans le fleuve Fraser. Cela a éveillé un intérêt pour la faune et l’écologie. Alors, plus tard, j’ai travaillé pour les parcs provinciaux de la Colombie-Britannique, en gestion des aires marines protégées de la côte de la Colombie-Britannique. J’ai également travaillé en politique, puisque j’ai toujours été animé par le désir d’améliorer les choses. J’ai réalisé que je voulais conjuguer ces deux passions : la possibilité de changer les choses et mon amour pour les espaces sauvages. J’ai décidé de rechercher une carrière comme responsable des campagnes de conservation, et j’ai commencé un programme de maîtrise à l’Université du Nord de la Colombie-Britannique (UNBC) en études environnementales et ressources naturelles. Par la suite, j’ai été embauché par Y2Y pour travailler sur les enjeux nordiques. Bien que mon parcours professionnel ait été sinueux, il aura contribué à cet emploi que j’aime.
Ce qui me motive
Le travail que je fais s’inscrit dans une stratégie de conservation à l’échelle du continent et est reconnu comme un modèle mondial de conciliation des besoins de la nature et de la population. Faire partie de cette grande vision collaborative est très excitant, et j’aime établir des liens entre les communautés de ma région dans le cadre de cette initiative d’importance mondiale. J’ai aussi l’occasion d’aller dehors sur le terrain, ou dans les airs en hélicoptère pour suivre la piste de grizzlis et de caribous avec des biologistes de la faune et de travailler avec des guides locaux et des clubs de plein air à la dépollution de superbes sites naturels. Pour moi, ce sont ces relations qui comptent le plus. Être en mesure d’aider à résoudre un problème dans la communauté relié à des éléments comme la pollution, tout en sachant que cela représente une partie de l’immense stratégie de Yellowstone to Yukon (Y2Y), est très gratifiant.
Comment j’influence la vie des gens
Ma carrière est axée sur la protection de l’habitat et l’établissement de liens pour que la population et la nature puissent prospérer. Les espaces sauvages nous fournissent les éléments qui nous maintiennent en vie : de l’eau fraîche, de l’air pur, des sols productifs et une protection contre les catastrophes naturelles comme la sécheresse et les inondations. Lorsque les animaux, les oiseaux, les poissons, les plantes, les sols et l’eau interagissent normalement, non seulement la nature sauvage s’épanouit – mais nous aussi.
En dehors du travail, je
J’aime un bon mélange sain de sorties à l’extérieur et de moments sédentaires à jouer à des jeux vidéo. Les deux sont super gratifiants et relaxants, et c’est très important pour moi d’avoir un mélange équilibré de temps d’arrêt et de temps à l’extérieur. J’aime le ski, la randonnée, le camping et la pêche, et je fais de la voile et du canot. Je fais du bénévolat pour l’organisme de recherche et de sauvetage de ma région.
Mon conseil aux autres
Ne cherche pas à tout planifier. Suis tes passions et ton instinct, ils te mèneront sur la bonne voie. Essaie toujours d’apprendre, que ce soit à l’école ou ailleurs.
- Arts visuels
- Géographie
- Histoire
- Aidait les gens à se rapprocher
- Aimait travailler avec ses mains
- S’impliquait dans des activités de bénévolat
- Aimait la lecture
- Jouait à des jeux vidéo
- N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard