Marg Rutka
Réviseure de textes géoscientifiques
Commission géologique de l’Ontario
À propos de ma carrière
Je révise des cartes géoscientifiques, des rapports et des données numériques pour en garantir la clarté, la cohérence et la précision avant la publication.
Je suis né/j’ai grandi à : Je suis née et j’ai grandi à Toronto, en Ontario.
J’habite désormais : Agrave; Sudbury, en Ontario.
J’ai fait ma formation ou mes études à : Je suis titulaire d’un baccalauréat en sciences spécialisé en sciences géologiques de l’Université Queen’s. J’ai ensuite obtenu une maîtrise en sciences avec une spécialisation en sédimentologie de l’Université McMaster.
Au cours d’une journée typique, je consacre mon temps à la révision de cartes géologiques, de rapports et de produits de données pour les préparer à la publication. La révision implique beaucoup de choses. Par exemple, il faut s’assurer que tous les textes sont bien écrits, concis et cohérents avec les images et les cartes qui les accompagnent. Je veille également à garantir l’exactitude scientifique. Enfin, l’édition consiste à utiliser les meilleures couleurs, symboles, motifs et mises en page possibles pour les cartes, les figures, etc. Je suis en communication constante avec les géologues de la Commission pour m’assurer que mes modifications ne changent pas le sens de leur message. Je travaille aussi en étroite collaboration avec d’autres personnes de notre service. Par exemple, les cartographes, qui produisent les cartes géologiques. Je travaille également avec la personne chargée de la rédaction numérique et avec la personne chargée de la coordination des distributions numériques. Ces personnes sont responsables de la mise en page finale et des préparations avant que nos publications soient mises en ligne.
De manière générale, nous préférons généralement que nos rédacteurs et rédactrices aient une formation en sciences de la Terre. Une telle formation aide à comprendre l’information que nous lisons. Le fait d’avoir une formation en sciences de la Terre signifie aussi que nous pouvons proposer des révisions ou des suggestions utiles et pertinentes. Les géologues savent qu’ils et elles peuvent nous faire confiance pour leur travail. Les géologues disent souvent que nous sommes leurs camarades secrets, là pour les mettre en valeur!
J’ai la chance d’avoir un travail qui me laisse une certaine liberté pour créer des réseaux et rester en contact avec la communauté de rédacteurs et de rédactrices en géosciences et en sciences de la Terre. Par exemple, je peux me joindre aux géologues de la CGO lors de sorties sur le terrain pour observer les roches étudiées. Je me suis jointe à des organisations de sciences de la Terre et de rédaction scientifique et j’ai assisté à leurs conférences, en personne et en ligne. J’ai également occupé divers postes dans ces organisations. Tout cela m’aide à rester à jour et à suivre les nouvelles idées et tendances en sciences de la Terre et dans le domaine de l’édition scientifique.
J’ai toujours été intéressée par les roches. Au secondaire, j’ai eu un professeur de géographie incroyable et inspirant qui a suscité mon intérêt envers la géographie physique. Cependant, pendant la semaine d’orientation à l’Université Queen’s, j’ai vu que plusieurs de mes camarades de résidence se dirigeaient vers la géologie, alors j’ai changé de programme. Je suis heureuse de l’avoir fait! Mon parcours a été formidable.
Mes emplois d’été m’ont donné une grande expérience et un aperçu des possibilités de carrière. J’ai voyagé d’un bout à l’autre de la province et j’ai occupé divers emplois. J’ai recueilli des informations à partir de rapports de forages géophysiques et j’ai travaillé dans un laboratoire de pétrographie (la science qui étudie les roches). J’ai aussi travaillé en tant qu’assistante de recherche sur les eaux souterraines.
Comme j’avais acquis des connaissances sur les roches sédimentaires, j’ai toujours pensé que je travaillerais en Alberta comme géologue pétrolière, à la recherche de la prochaine grande découverte de pétrole. Après avoir terminé ma maîtrise ès sciences et travaillé comme assistante de recherche en sédimentologie glaciaire pendant quelques années, je suis tombée sur une offre de contrat à court terme à la Commission géologique de l’Ontario (CGO). J’ai décroché le poste et j’ai travaillé comme spécialiste du Paléozoïque. C’était génial! J’ai étudié des roches vieilles de 570 ans à 91 millions d’années!
Quelques années plus tard, j’ai décidé d’accepter un poste de réviseure au service des publications de la CGO. C’était un emploi qui allait probablement devenir permanent. Cela me permettrait de rester dans le domaine de la géologie, mais en faisant quelque chose d’autre que j’aimais aussi : jouer avec les mots. Aujourd’hui, je suis encore là. Je suis l’une des trois personnes employées par la CGO pour réviser ses publications scientifiques.
La Commission géologique de l’Ontario est l’un des principaux centres d’information géoscientifique au Canada. Je trouve très gratifiant de faire partie d’une équipe qui contribue à diffuser cette information. Pouvoir aider les géoscientifiques à communiquer les résultats de leur travail sur le terrain est gratifiant en soi. C’est le fruit d’une longue collaboration.
Je suis aussi très heureuse d’avoir la chance d’interagir avec d’autres rédacteurs et rédactrices en sciences de la Terre provenant d’autres commissions géologiques du Canada et des États-Unis. J’ai l’occasion de voyager pour les rencontrer en personne lors de conférences, ou d’interagir avec ces personnes en ligne. Ces relations sont précieuses pour relayer des expériences et découvrir de nouvelles façons de faire les choses. Je suis une personne minutieuse. Je suppose que cela correspond naturellement à la carrière que j’ai choisie... Trouver les erreurs et m’assurer que chaque petit détail est pris en compte.
Le travail réalisé par notre service des publications garantit que la Commission géologique de l’Ontario produit de l’information précise sur la géologie et l’histoire géologique de la province. Cela aide les industries des minéraux, des agrégats et des eaux souterraines de l’Ontario dans leur recherche de nouvelles ressources à exploiter.
J’adore voyager. J’essaie de le faire aussi souvent que possible. J’adore aller partout où je peux trouver des ruines anciennes. De plus, j’aime les randonnées pédestres, la photographie, les films indépendants et étrangers et la lecture.
Ne choisis pas trop rapidement un domaine de spécialité, sauf si tu as la certitude que c’est ce que tu veux faire. Acquiers toutes sortes d’expériences et saisis les occasions qui se présentent. Fais comme moi et laisse-toi porter par la vie. Aujourd’hui, je crois être là où je devais être.
Ce que je fais au travail
Au cours d’une journée typique, je consacre mon temps à la révision de cartes géologiques, de rapports et de produits de données pour les préparer à la publication. La révision implique beaucoup de choses. Par exemple, il faut s’assurer que tous les textes sont bien écrits, concis et cohérents avec les images et les cartes qui les accompagnent. Je veille également à garantir l’exactitude scientifique. Enfin, l’édition consiste à utiliser les meilleures couleurs, symboles, motifs et mises en page possibles pour les cartes, les figures, etc. Je suis en communication constante avec les géologues de la Commission pour m’assurer que mes modifications ne changent pas le sens de leur message. Je travaille aussi en étroite collaboration avec d’autres personnes de notre service. Par exemple, les cartographes, qui produisent les cartes géologiques. Je travaille également avec la personne chargée de la rédaction numérique et avec la personne chargée de la coordination des distributions numériques. Ces personnes sont responsables de la mise en page finale et des préparations avant que nos publications soient mises en ligne.
De manière générale, nous préférons généralement que nos rédacteurs et rédactrices aient une formation en sciences de la Terre. Une telle formation aide à comprendre l’information que nous lisons. Le fait d’avoir une formation en sciences de la Terre signifie aussi que nous pouvons proposer des révisions ou des suggestions utiles et pertinentes. Les géologues savent qu’ils et elles peuvent nous faire confiance pour leur travail. Les géologues disent souvent que nous sommes leurs camarades secrets, là pour les mettre en valeur!
J’ai la chance d’avoir un travail qui me laisse une certaine liberté pour créer des réseaux et rester en contact avec la communauté de rédacteurs et de rédactrices en géosciences et en sciences de la Terre. Par exemple, je peux me joindre aux géologues de la CGO lors de sorties sur le terrain pour observer les roches étudiées. Je me suis jointe à des organisations de sciences de la Terre et de rédaction scientifique et j’ai assisté à leurs conférences, en personne et en ligne. J’ai également occupé divers postes dans ces organisations. Tout cela m’aide à rester à jour et à suivre les nouvelles idées et tendances en sciences de la Terre et dans le domaine de l’édition scientifique.
Mon parcours
J’ai toujours été intéressée par les roches. Au secondaire, j’ai eu un professeur de géographie incroyable et inspirant qui a suscité mon intérêt envers la géographie physique. Cependant, pendant la semaine d’orientation à l’Université Queen’s, j’ai vu que plusieurs de mes camarades de résidence se dirigeaient vers la géologie, alors j’ai changé de programme. Je suis heureuse de l’avoir fait! Mon parcours a été formidable.
Mes emplois d’été m’ont donné une grande expérience et un aperçu des possibilités de carrière. J’ai voyagé d’un bout à l’autre de la province et j’ai occupé divers emplois. J’ai recueilli des informations à partir de rapports de forages géophysiques et j’ai travaillé dans un laboratoire de pétrographie (la science qui étudie les roches). J’ai aussi travaillé en tant qu’assistante de recherche sur les eaux souterraines.
Comme j’avais acquis des connaissances sur les roches sédimentaires, j’ai toujours pensé que je travaillerais en Alberta comme géologue pétrolière, à la recherche de la prochaine grande découverte de pétrole. Après avoir terminé ma maîtrise ès sciences et travaillé comme assistante de recherche en sédimentologie glaciaire pendant quelques années, je suis tombée sur une offre de contrat à court terme à la Commission géologique de l’Ontario (CGO). J’ai décroché le poste et j’ai travaillé comme spécialiste du Paléozoïque. C’était génial! J’ai étudié des roches vieilles de 570 ans à 91 millions d’années!
Quelques années plus tard, j’ai décidé d’accepter un poste de réviseure au service des publications de la CGO. C’était un emploi qui allait probablement devenir permanent. Cela me permettrait de rester dans le domaine de la géologie, mais en faisant quelque chose d’autre que j’aimais aussi : jouer avec les mots. Aujourd’hui, je suis encore là. Je suis l’une des trois personnes employées par la CGO pour réviser ses publications scientifiques.
Ce qui me motive
La Commission géologique de l’Ontario est l’un des principaux centres d’information géoscientifique au Canada. Je trouve très gratifiant de faire partie d’une équipe qui contribue à diffuser cette information. Pouvoir aider les géoscientifiques à communiquer les résultats de leur travail sur le terrain est gratifiant en soi. C’est le fruit d’une longue collaboration.
Je suis aussi très heureuse d’avoir la chance d’interagir avec d’autres rédacteurs et rédactrices en sciences de la Terre provenant d’autres commissions géologiques du Canada et des États-Unis. J’ai l’occasion de voyager pour les rencontrer en personne lors de conférences, ou d’interagir avec ces personnes en ligne. Ces relations sont précieuses pour relayer des expériences et découvrir de nouvelles façons de faire les choses. Je suis une personne minutieuse. Je suppose que cela correspond naturellement à la carrière que j’ai choisie... Trouver les erreurs et m’assurer que chaque petit détail est pris en compte.
Comment j’influence la vie des gens
Le travail réalisé par notre service des publications garantit que la Commission géologique de l’Ontario produit de l’information précise sur la géologie et l’histoire géologique de la province. Cela aide les industries des minéraux, des agrégats et des eaux souterraines de l’Ontario dans leur recherche de nouvelles ressources à exploiter.
En dehors du travail, je
J’adore voyager. J’essaie de le faire aussi souvent que possible. J’adore aller partout où je peux trouver des ruines anciennes. De plus, j’aime les randonnées pédestres, la photographie, les films indépendants et étrangers et la lecture.
Mon conseil aux autres
Ne choisis pas trop rapidement un domaine de spécialité, sauf si tu as la certitude que c’est ce que tu veux faire. Acquiers toutes sortes d’expériences et saisis les occasions qui se présentent. Fais comme moi et laisse-toi porter par la vie. Aujourd’hui, je crois être là où je devais être.
Durant mon parcours scolaire, j'appréciais les sujets suivants :
- Langues étrangères
- Géographie
- Histoire
- Littérature et langue française
- Sciences
- Mathématiques
Durant mon parcours scolaire , je me décrirais comme une personne qui :
- Appréciait travailler seul
- Voulait toujours sortir dehors
- Aimait la lecture
- Aimait recevoir des instructions précises
- Se sentait à l'aise dans l'environnement extérieur et naturel
- N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard
- Ressentait une intense satisfaction lorsqu’elle obtenait de bonnes notes
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