
Jason Bowie


À propos de moi
Je suis né/j’ai grandi à : Chatham (aujourd’hui Miramichi), au Nouveau-Brunswick.
J’habite désormais : Riverview, au Nouveau-Brunswick.
J’ai fait ma formation ou mes études à : Baccalauréat en biologie et diplôme en médecine nucléaire, tous deux de l’Université Dalhousie.
Ce que je fais au travail
Je travaille à Merck Canada, une grande entreprise pharmacologique. Du point de vue des STIM, chaque volet de mon travail quotidien est en lien avec des données scientifiques et des essais cliniques dans le domaine des soins aux personnes atteintes du cancer. Sans données, il n’y aurait pas de soins différenciés, et l’élaboration d’essais cliniques dans le domaine du cancer au Canada est essentielle si on veut pouvoir améliorer la vie des gens.
L’un des principaux défis à relever pour résoudre les problèmes des professionnels et professionnelles de la santé et des personnes qu’ils et elles soignent, c’est fournir des solutions les plus ciblées que possible. La notion de médecine de précision en oncologie est devenue une préoccupation centrale. Lorsque je prends des décisions au travail, je dois trouver un équilibre entre les résultats commerciaux de l’entreprise et les besoins de la clientèle et des personnes soignées. J’ai donc besoin d’un maximum de faits lorsque je cherche à résoudre des problèmes. Je dois également utiliser ces faits pour guider ma prise de décisions en sachant que parfois, les enjeux et les occasions à saisir peuvent entrer en conflit.
Tout ce que je fais est enraciné dans la science et dépend de la qualité des données dont je dispose. Ma formation scientifique soutient mon travail de tous les jours, et ma formation en médecine nucléaire me donne une certaine appréciation des personnes que nous cherchons à soigner. Je dirige un groupe mais je fais aussi partie de plusieurs équipes. Qu’il s’agisse de la gestion de projets ou des tâches du quotidien, nous nous rencontrons virtuellement chaque semaine, et en personne lorsque qu’approprié. Le fait d’avoir suivi un programme d’immersion française à l’école m’a permis d’élargir mes possibilités de carrière. Savoir parler français contribue tous les jours à ma collaboration avec de nombreux collègues.
Mon parcours
À la fin de mes études secondaires, j’ai été accepté à la faculté de pharmacie de l'Université Dalhousie. Pendant ma première année à l’université, j’ai été élu page à la Chambre des communes. Comme je trouvais qu’il s’agissait d’une occasion en or, j’ai participé à ce programme avec enthousiasme. C’est à l’Université d’Ottawa que j’ai décidé que je ne voulais plus être pharmacien. Je suis donc retourné à l’Université Dalhousie pour obtenir mon diplôme en sciences.
À la fin de mes études, j’ai passé un an à enseigner à l’école en tant que suppléant, avant d’être accepté dans le programme de médecine nucléaire, toujours à Dalhousie. À la fin de mon baccalauréat, j’ai envisagé de nombreuses options de carrière. Mais même après avoir obtenu mon diplôme en médecine nucléaire, je n’étais toujours pas sûr de ce que je voulais faire pour le reste de ma vie professionnelle. C’est accidentellement que j’ai rencontré un recruteur de cadres, et il a dit aimer ma capacité à communiquer, à rendre pertinents des concepts complexes et à composer avec l’ambiguïté. Il m’a embauché, et c’est ainsi que j’ai commencé la carrière que je mène aujourd’hui.
Ce qui me motive
Ma carrière est motivée par l’incidence que mon travail quotidien a sur les patients et patientes du Canada. Le changement constant et le fait d’avoir à me fier aux données cliniques rendent mon travail intéressant. C’est ma carrière qui m’a trouvé! Ça fait maintenant plus de 25 ans, et je sais qu’elle me convient bien parce qu’elle soutient mon sens de l’apprentissage.
Comment j’influence la vie des gens
Ma carrière est pertinente et enrichissante parce que tout le monde est touché par le cancer. Directement ou indirectement, nous connaîtrons tous un jour ou l’autre une personne atteinte du cancer. Ma carrière contribue à façonner un environnement qui donne de l’espoir aux patients et patientes. Je travaille pour une entreprise qui mène d’importants travaux de recherche en science fondamentale et en médecine, travaux qui sauvent la vie ou améliorent celle des gens touchés par le cancer.
En dehors du travail, je
Ma passion est la photographie. J’en fais autant que je le peux dans mes temps libres. Cette activité fait appel à une autre partie de mon cerveau, soutient mon envie d’apprendre comme le fait mon travail, et me permet de rencontrer beaucoup de personnes différentes. La photographie me permet de faire la majeure partie de mon bénévolat auprès d’organismes qui aident les gens. Je ne pratique plus de sports organisés, mais j’en photographie une tonne à travers mon objectif! Je passe le reste de mon temps à la salle d’entraînement pour me garder en forme.
Mon conseil aux autres
Posez des questions. Observez le travail d’autrui lorsque possible et ne limitez pas vos possibilités. Faire de bons choix en matière d’éducation vous procurera une base solide et une souplesse qui vous permettra de considérer de nombreuses possibilités d’emploi. Mais mon conseil le plus important est de chercher à faire ce qui vous rendra heureux.
- Commerce et économie
- Arts visuels
- Littérature et langues
- Mathématiques
- Sciences
- Éducation physique/Santé
- Aidait les gens à se rapprocher
- Aimait aider les autres
- Faisait partie d’une équipe sportive
- Était motivée par le succès
- Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
- S’impliquait dans des activités de bénévolat
- Était très créative
- Ressentait une grande satisfaction lorsqu’elle obtenait de bonnes notes
- N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard