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Isabel Hilgendag

Étudiante en maîtrise ès sciences (MSc) en biologie

l’Université de Waterloo

Profil créé le : 7 août 2023
Secteur :
Parcours education : Université

À propos de ma carrière

Je cherche des métaux lourds, comme le mercure, chez les animaux marins de l’Arctique, pour m’assurer qu’ils sont propres à la consommation.

Je suis né/j’ai grandi à : Je suis née et j’ai grandi à Brantford, Ontario, Canada.

J’habite désormais : Je vis actuellement à Brantford, Ontario, Canada.

J’ai fait ma formation ou mes études à : J’ai obtenu mon diplôme ès sciences en sciences de l’environnement de l’Université Laurentienne. Pendant ce temps, j’ai passé un été à faire de la recherche en Allemagne à l’Université de Konstanz (en anglais). Je poursuis maintenant mes études de maîtrise ès sciences en biologie (en anglais) à l’Université de Waterloo.

J’étudie les animaux marins de l’Arctique pour m’assurer qu’ils sont propres à la consommation. Je cherche des métaux lourds, comme le mercure. Dans mes recherches, je fais toutes sortes de choses! Cela comprend passer du temps à l’extérieur à prélever des échantillons, étudier ces échantillons en laboratoire et faire des recherches ou rédiger les résultats dans mon bureau.

Habituellement, une fois par année, je vais à Iqaluit, au Nunavut, où je passe plusieurs semaines à faire des excursions quotidiennes en bateau pour recueillir des échantillons dans la baie Frobisher. Mes échantillons comprennent des poissons, différents types d’invertébrés tels que les insectes aquatiques et le minuscule zooplancton. Je recueille ces animaux avec différents types de filets et de chaluts. Une fois que je les ai recueillis, je les trie et je les congèle.

En laboratoire, j’utilise ce qu’on appelle un séchoir lyophilisant (ou lyophilisateur). Il aspire toute l’humidité des tissus congelés. Lorsque les tissus animaux sont vraiment secs, ils peuvent être préservés sans être congelés. Après avoir fait cela, je mouds habituellement les échantillons en poudre. Je peux analyser cette poudre pour trouver différentes choses. L’une de ces choses est le mercure, un métal lourd.

J’utilise une machine appelée analyseur de mercure direct. Cette machine chauffe l’échantillon jusqu’à ce qu’il prenne feu et brûle. Elle analyse ensuite les gaz produits et m’informe sur la quantité de mercure qu’il contient. J’utilise également une balance microanalytique pour peser de petites quantités de poudre en vue d’autres types d’analyses. Une balance microanalytique est un mot fantaisiste pour désigner une balance très précise!

Lorsque je suis au bureau, les choses que je fais incluent la lecture de littérature scientifique ainsi que la rédaction de ma thèse ou de manuscrits pour publication. Parfois, j’analyse les données que j’ai recueillies avec différents types de logiciels.

Je donne aussi des cours au premier cycle et je dirige des activités de laboratoire. Certains jours, je suis en classe ou en laboratoire pour enseigner les sciences. Je peux noter des examens ou des rapports de laboratoire, et rencontrer des étudiants et étudiantes qui ont des questions.

Quand j’étais en 11e et 12e année, je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire. Je savais que je voulais aller à l’université, mais je ne savais pas quel programme je voulais suivre. Je me souviens d’avoir feuilleté les dépliants de plusieurs universités. Je m’arrêtais aux programmes qui piquaient mon intérêt et je lisais les possibilités de carrière. J’aimais les sciences, mais je ne pensais pas être assez intelligente. L’idée de poursuivre des études en sciences dans une université était plus que décourageante!

J’ai finalement décidé d’étudier les sciences environnementales. J’aime la nature depuis mon enfance. Après avoir suivi des cours de chimie au secondaire, je me suis beaucoup intéressée aux contaminants environnementaux. J’ai commencé mon baccalauréat ès sciences à l’Université d’Ottawa. Après deux ans, je me suis retrouvée à l’Université Laurentienne pour acquérir une expérience plus pratique. En troisième année, j’ai passé un été à faire des recherches à l’Université de Konstanz (en anglais) en Allemagne.

Après avoir terminé mon baccalauréat, j’ai passé un été à travailler pour un professeur à l’Université de Waterloo. J’ai beaucoup appris sur la recherche dans les écosystèmes nordiques. J’ai même eu l’occasion de faire de la recherche dans les Territoires du Nord-Ouest, ce qui a été une expérience phénoménale! J’ai tellement aimé cela que j’ai décidé d’effectuer une maîtrise ès sciences en biologie à l’Université de Waterloo (en anglais). Je fais maintenant de la recherche sur le mercure dans les réseaux trophiques marins de l’Arctique près d’Iqaluit, au Nunavut.

J’adore faire de la recherche! Je suis vraiment excitée de faire quelque chose qui me tient à cœur, quelque chose qui a un impact positif sur les autres. Je suis reconnaissante des occasions que j’ai de voyager dans les régions nordiques du Canada. Je rencontre des gens que mes recherches aideront. J’ai aussi l’occasion de découvrir et d’expérimenter notre monde naturel.

J’aime le fait que je puisse accomplir une diversité de choses. Que ce soit au bureau, au laboratoire, à l’extérieur ou devant une classe d’étudiants et étudiantes piqués de curiosité. J’ai toujours été très intéressée par les contaminants dans l’environnement. Je trouve très excitant de faire quelque chose qui me passionne. J’aime aussi le fait que mon travail peut être rapide, stimulant, et qu’il est toujours possible de faire mieux.

Dans mes recherches, j’étudie la présence de mercure dans les écosystèmes marins de l’Arctique. Le mercure est un métal lourd toxique. Ceci est important parce que de nombreuses personnes qui vivent dans l’Arctique dépendent de la chasse et de la pêche pour se nourrir. Les poissons qui ont des niveaux élevés de mercure peuvent être une préoccupation majeure pour la santé des gens qui les consomment.

Dans le cadre de mes recherches, j’examine la quantité de mercure présente dans les poissons et leurs proies. J’essaie de comprendre pourquoi ces quantités se révèlent élevées ou faibles. Cette recherche permettra de s’assurer que les poissons sont propres la consommation. Cela nous aidera également à comprendre comment les changements environnementaux, dus au changement climatique, pourraient affecter la sécurité alimentaire à l’avenir.

Je suis intéressée par beaucoup de choses différentes et je fais des choses diversifiées et variées. J’aime pratiquer le yoga, jouer au Ultimate Frisbee et au tennis, ainsi que faire de la plongée en scaphandre autonome. J’aime faire de la randonnée, du camping dans l’arrière-pays et parcourir le monde. J’aime aussi apprendre différentes langues.

Poursuivre une carrière en sciences peut sembler effrayant et intimidant. Si cela capte ton intérêt et que tu es en capacité de travailler dur, il y a tellement d’options de carrière différentes et intéressantes. Crois en toi-même et poursuis ce qui te passionne. Si ce sujet t’emballe et que tu sais que c’est quelque chose que tu aimerais faire, alors mets tes doutes de côté et tente le coup! La pire chose qui pourrait arriver est que tu te rendes compte que tu veux faire autre chose. Dans ce cas, au moins, tu sauras que tu as essayé. Fais toujours de ton mieux et fais preuve d’ouverture face aux nouvelles opportunités.

Ce que je fais au travail

J’étudie les animaux marins de l’Arctique pour m’assurer qu’ils sont propres à la consommation. Je cherche des métaux lourds, comme le mercure. Dans mes recherches, je fais toutes sortes de choses! Cela comprend passer du temps à l’extérieur à prélever des échantillons, étudier ces échantillons en laboratoire et faire des recherches ou rédiger les résultats dans mon bureau.

Habituellement, une fois par année, je vais à Iqaluit, au Nunavut, où je passe plusieurs semaines à faire des excursions quotidiennes en bateau pour recueillir des échantillons dans la baie Frobisher. Mes échantillons comprennent des poissons, différents types d’invertébrés tels que les insectes aquatiques et le minuscule zooplancton. Je recueille ces animaux avec différents types de filets et de chaluts. Une fois que je les ai recueillis, je les trie et je les congèle.

En laboratoire, j’utilise ce qu’on appelle un séchoir lyophilisant (ou lyophilisateur). Il aspire toute l’humidité des tissus congelés. Lorsque les tissus animaux sont vraiment secs, ils peuvent être préservés sans être congelés. Après avoir fait cela, je mouds habituellement les échantillons en poudre. Je peux analyser cette poudre pour trouver différentes choses. L’une de ces choses est le mercure, un métal lourd.

J’utilise une machine appelée analyseur de mercure direct. Cette machine chauffe l’échantillon jusqu’à ce qu’il prenne feu et brûle. Elle analyse ensuite les gaz produits et m’informe sur la quantité de mercure qu’il contient. J’utilise également une balance microanalytique pour peser de petites quantités de poudre en vue d’autres types d’analyses. Une balance microanalytique est un mot fantaisiste pour désigner une balance très précise!

Lorsque je suis au bureau, les choses que je fais incluent la lecture de littérature scientifique ainsi que la rédaction de ma thèse ou de manuscrits pour publication. Parfois, j’analyse les données que j’ai recueillies avec différents types de logiciels.

Je donne aussi des cours au premier cycle et je dirige des activités de laboratoire. Certains jours, je suis en classe ou en laboratoire pour enseigner les sciences. Je peux noter des examens ou des rapports de laboratoire, et rencontrer des étudiants et étudiantes qui ont des questions.

Mon parcours

Quand j’étais en 11e et 12e année, je n’avais aucune idée de ce que je voulais faire. Je savais que je voulais aller à l’université, mais je ne savais pas quel programme je voulais suivre. Je me souviens d’avoir feuilleté les dépliants de plusieurs universités. Je m’arrêtais aux programmes qui piquaient mon intérêt et je lisais les possibilités de carrière. J’aimais les sciences, mais je ne pensais pas être assez intelligente. L’idée de poursuivre des études en sciences dans une université était plus que décourageante!

J’ai finalement décidé d’étudier les sciences environnementales. J’aime la nature depuis mon enfance. Après avoir suivi des cours de chimie au secondaire, je me suis beaucoup intéressée aux contaminants environnementaux. J’ai commencé mon baccalauréat ès sciences à l’Université d’Ottawa. Après deux ans, je me suis retrouvée à l’Université Laurentienne pour acquérir une expérience plus pratique. En troisième année, j’ai passé un été à faire des recherches à l’Université de Konstanz (en anglais) en Allemagne.

Après avoir terminé mon baccalauréat, j’ai passé un été à travailler pour un professeur à l’Université de Waterloo. J’ai beaucoup appris sur la recherche dans les écosystèmes nordiques. J’ai même eu l’occasion de faire de la recherche dans les Territoires du Nord-Ouest, ce qui a été une expérience phénoménale! J’ai tellement aimé cela que j’ai décidé d’effectuer une maîtrise ès sciences en biologie à l’Université de Waterloo (en anglais). Je fais maintenant de la recherche sur le mercure dans les réseaux trophiques marins de l’Arctique près d’Iqaluit, au Nunavut.

Ce qui me motive

J’adore faire de la recherche! Je suis vraiment excitée de faire quelque chose qui me tient à cœur, quelque chose qui a un impact positif sur les autres. Je suis reconnaissante des occasions que j’ai de voyager dans les régions nordiques du Canada. Je rencontre des gens que mes recherches aideront. J’ai aussi l’occasion de découvrir et d’expérimenter notre monde naturel.

J’aime le fait que je puisse accomplir une diversité de choses. Que ce soit au bureau, au laboratoire, à l’extérieur ou devant une classe d’étudiants et étudiantes piqués de curiosité. J’ai toujours été très intéressée par les contaminants dans l’environnement. Je trouve très excitant de faire quelque chose qui me passionne. J’aime aussi le fait que mon travail peut être rapide, stimulant, et qu’il est toujours possible de faire mieux.

Comment j’influence la vie des gens

Dans mes recherches, j’étudie la présence de mercure dans les écosystèmes marins de l’Arctique. Le mercure est un métal lourd toxique. Ceci est important parce que de nombreuses personnes qui vivent dans l’Arctique dépendent de la chasse et de la pêche pour se nourrir. Les poissons qui ont des niveaux élevés de mercure peuvent être une préoccupation majeure pour la santé des gens qui les consomment.

Dans le cadre de mes recherches, j’examine la quantité de mercure présente dans les poissons et leurs proies. J’essaie de comprendre pourquoi ces quantités se révèlent élevées ou faibles. Cette recherche permettra de s’assurer que les poissons sont propres la consommation. Cela nous aidera également à comprendre comment les changements environnementaux, dus au changement climatique, pourraient affecter la sécurité alimentaire à l’avenir.

En dehors du travail, je

Je suis intéressée par beaucoup de choses différentes et je fais des choses diversifiées et variées. J’aime pratiquer le yoga, jouer au Ultimate Frisbee et au tennis, ainsi que faire de la plongée en scaphandre autonome. J’aime faire de la randonnée, du camping dans l’arrière-pays et parcourir le monde. J’aime aussi apprendre différentes langues.

Mon conseil aux autres

Poursuivre une carrière en sciences peut sembler effrayant et intimidant. Si cela capte ton intérêt et que tu es en capacité de travailler dur, il y a tellement d’options de carrière différentes et intéressantes. Crois en toi-même et poursuis ce qui te passionne. Si ce sujet t’emballe et que tu sais que c’est quelque chose que tu aimerais faire, alors mets tes doutes de côté et tente le coup! La pire chose qui pourrait arriver est que tu te rendes compte que tu veux faire autre chose. Dans ce cas, au moins, tu sauras que tu as essayé. Fais toujours de ton mieux et fais preuve d’ouverture face aux nouvelles opportunités.

Durant mon parcours scolaire, j'appréciais les sujets suivants :

  • Langues étrangères
  • Géographie
  • Histoire
  • Littérature et langue
  • Sciences
  • Musique

Durant mon parcours scolaire , je me décrirais comme une personne qui :

  • Aidait les gens à se rapprocher
  • Aimait aider les autres
  • Faisait partie d’une équipe sportive
  • Était motivé par le succès
  • S’impliquait dans des activités de bénévolat
  • Aimait recevoir des instructions précises
  • Aimait la lecture
  • Organisait toujours les meilleures soirées entre amis
  • Ressentait une intense satisfaction lorsqu’elle obtenait de bonnes notes
  • N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard
  • Apprenait en expérimentant
  • portrait par Kenzie Arnott

    Kenzie Arnott

    Profils de carrière

    Responsable du programme « Science in the City »

    Je dirige un programme de communication scientifique dans trois villes différentes. Le but est de connecter les scientifiques afin de les aider à comprendre les spécialités des uns et des autres.
  • portrait par Jose Chiriboga

    Jose Chiriboga (il)

    Profils de carrière

    Associé principal au soutien scientifique

    Mon équipe et moi créons et animons des programmes de formation illustrant les diverses manières d’utiliser nos produits afin de faciliter la recherche scientifique et l’innovation.
  • Genny Marcoux debout devant un fond de fleurs artificielles roses et blanches de taille humaine.

    Genny Marcoux

    Profils de carrière

    Responsable de l’infrastructure et de la sécurité

    Je dirige une équipe experte chargée de créer un environnement sécurisé pour l’équipe de développement de cours, permettant à la clientèle de se familiariser avec nos produits et d’apprendre la cybersécurité.
  • portrait par Gordon Martell

    Gordon Martell (il)

    Profils de carrière

    Professeur adjoint

    J’enseigne aux étudiants et étudiantes du postsecondaire à devenir des leaders dans les écoles et autres organisations.
  • Nancy Rogers debout sur un affleurement rocheux où elle prospecte des minéraux. Encadré : Roche de labradorite coupée pour exposer les motifs de couleur.

    Nancy Rogers

    Profils de carrière

    Prospectrice professionnelle et artisane

    Je me rends dans des régions reculées à la recherche de minéraux et de cristaux.
  • portrait par Marianne Parent

    Marianne Parent (elle)

    Profils de carrière

    Vétérinaire / Candidate au doctorat en épidémiologie vétérinaire,

    Je suis une docteure pour les chats et les chiens, ainsi que pour certains autres animaux comme les perroquets et les lapins. Je fais aussi de la recherche sur un parasite du saumon d’élevage.
  • portrait par Ali Ashrafi

    Ali Ashrafi (il)

    Profils de carrière

    Candidat au doctorat

    Je suis inscrit dans un programme de doctorat en sciences humaines.
  • portrait par Olivia Ivany

    Olivia Ivany

    Profils de carrière

    Technologue en échographie diagnostique

    J’effectue différents types d’échographies sur l'ensemble du corps.
  • portrait par Rashell Featherstone

    Rashell Featherstone (elle)

    Profils de carrière

    Associée principale au programme

    Je coordonne des projets pour le développement de nouveaux produits chez STEMCELL.
  • portrait par Tyler Morhart

    Tyler Morhart (il)

    Profils de carrière

    Scientifique, responsable de la ligne de faisceaux – SyLMAND

    Je fais partie du personnel scientifique à l’installation de rayonnement synchrotron du Centre canadien de rayonnement synchrotron. Je suis responsable de la ligne de faisceaux de SyLMAND.
  • portrait parMohamd Imad

    Mohamd Imad

    Profils de carrière

    Spécialiste de l’étalonnage des systèmes de diagnostic et de contrôle des véhicules

    Je travaille sur l’électronique, le câblage et les logiciels des véhicules extraordinaires de General Motors.
  • Brianna Lummerding à genoux près d’un cerceau en plastique collectant des échantillons dans un champ herbeux.

    Brianna Lummerding

    Profils de carrière

    Responsable de l’innovation agronomique

    Je m’occupe de tout ce qui concerne la gestion des sols pour un groupe de détaillants et détaillantes.