![Jo-Anne McArthur](/sites/default/files/2022-08/Jo-Anne%20McArthur%20Credit_%20Kelly%20Guerin%202019.jpg)
(Crédit photo Kelly Guerin)
Jo-Anne McArthur (elle)
Photojournaliste et militante pour les droits des animaux
We Animals Media
À propos de ma carrière
Je dirige une organisation médiatique sans but lucratif qui présente la vie des animaux en images.
Je suis né/j’ai grandi à : Je suis née à Montréal, au Québec, et j’ai grandi à Ottawa, en Ontario.
J’habite désormais : Toronto, en Ontario.
J’ai fait ma formation ou mes études à : J’ai obtenu un baccalauréat en anglais et géographie à l’Université d’Ottawa.
Je suis fondatrice et présidente de We Animals Media (en anglais). Notre objectif est de raconter l’histoire des animaux qui se retrouvent dans l’environnement des humains. Ces animaux sont utilisés pour la nourriture, les vêtements, etc. J’ai commencé comme photojournaliste. Je racontais des histoires à l’aide de photographies et d’images. Peu à peu, mon travail a évolué vers la narration d’histoires d’animaux.
En tant que présidente d’un groupe sans but lucratif, je travaille avec une équipe talentueuse qui s’occupe du marketing, de la collecte de fonds, du site web et des médias sociaux, de la comptabilité; tout ce qu’il faut pour faire fonctionner une agence de photographie. Je participe à bon nombre de ces processus, mais je travaille aussi à la rédaction et à la publication de livres et d’articles. Je crée du contenu pour transmettre des informations au public et ouvrir le dialogue. Dans mon travail, je fais tout, du travail de bureau à la recherche sur le terrain en passant par la prise de photos.
Contrairement à ce que l’on peut penser, mon travail a un lien avec les STIM. Dans les histoires que nous racontons à travers nos images et nos livres, nous parlons du comportement des animaux. En parlant de certains de leurs comportements, nous arrivons à mieux raconter leur histoire. Dans la galerie d’images de notre site web, nous indiquons les noms scientifiques des espèces que nous présentons. Nous voulons que les gens apprennent à connaître ces animaux, c’est pourquoi nous veillons à ce que notre travail soit factuel et de nature scientifique. Pour nous assurer de présenter des informations justes, nous faisons appel à des scientifiques.
Je ne savais pas ce que je voulais faire quand j’étais à l’école, et je n’avais pas des notes extraordinaires, loin de là. J’avais de la difficulté à apprendre en classe. À ma dernière année du secondaire, j’ai décidé de tenter ma chance à l’université. J’ai donc redoublé d’efforts et, à ma grande surprise, j’ai obtenu un A. Mes demandes d’admission aux différentes universités ont été acceptées.
J’ai commencé à étudier la géographie, principalement parce que je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire. J’ai suivi un cours facultatif sur l’impression en noir et blanc. Cela m’a ouvert les yeux sur l’expression artistique et son rôle dans la communication. J’ai tout de suite compris que c’était ça ma carrière.
Je n’ai pas officiellement étudié la photographie. Je me suis lancée et j’ai appris ce que je pouvais par moi-même. J’ai fait le tour d’un certain nombre d’agences et j’ai offert de faire du bénévolat. Je me suis rendue au bureau du Géographe canadien et je me suis portée volontaire pour exercer n’importe quelle tâche : classer des documents, faire du café, n’importe quoi! Je suppose que mon attitude m’a permis de faire un premier pas vers cet univers. J’ai travaillé comme assistante-photographe. Plus tard, j’ai été encouragée à prendre mes propres photos. J’ai continué à apprendre et j’ai travaillé avec de formidables personnes qui m’ont aidée tout au long de mon parcours. J’ai dévoré toutes les informations que j’ai pu trouver sur les photographes et le photojournalisme.
J’ai commencé à travailler pour moi-même. J’ai créé une entreprise de photos culinaires, de portraits et de photos de mariages. J’ai découvert que j’étais une bonne entrepreneuse. J’avais beaucoup de succès et j’aimais le travail. Toutefois, je m’intéressais surtout au changement social. J’ai donc commencé à prendre des photos d’animaux. Pas des animaux de compagnie ni des animaux sauvages. Les « animaux qu’on ne voit pas ». Ceux que nous mangeons, portons ou utilisons pour la recherche. Souvent, nous ne les considérons pas comme des êtres vivants parce que nous les voyons dans nos assiettes ou sous forme de vêtements. Leurs histoires sont importantes et doivent être racontées. Les histoires d’animaux touchent aussi à l’environnement, à la santé et aux droits de la personne. Il y a beaucoup de choses à couvrir en tant que photojournaliste animalier!
Je suis motivée à faire du monde un endroit plus paisible pour tous les animaux. Je suis heureuse de pouvoir raconter des histoires à travers des images. J’essaie de raconter des histoires qui touchent les gens. Il est dans notre nature de vouloir détourner le regard lorsque nous voyons de la cruauté envers les animaux. Pour inciter les gens à s’engager, nous devons créer des images poignantes et convaincantes.
Nous voulons avoir un impact sur les gens! Les images atteignent les gens et transmettent l’information beaucoup plus vite que les textes. Nous voulons rendre le monde meilleur pour tous les êtres vivants. Pour ce faire, nous devons prendre conscience de nos actions sur les animaux dans notre environnement humain.
J’adore la lecture! C’est mon passe-temps préféré. Je jardine, je fais de l’exercice et je passe du temps à l’extérieur à faire de l’escalade et de la natation. À l’heure actuelle, je n’accueille pas d’animaux chez moi, mais j’en ai sauvé, accueilli et relocalisé plusieurs. Ma maison a été un refuge pour d’innombrables oiseaux, petits mammifères et, en ce moment, pour mon vieux chien, Banjo.
Travaille dur et fais preuve de curiosité. N’essaie pas des raccourcis. Attends-toi à faire des erreurs. Ce n’est pas grave, les erreurs sont autant d’occasions d’apprendre et de progresser.
Ce que je fais au travail
Je suis fondatrice et présidente de We Animals Media (en anglais). Notre objectif est de raconter l’histoire des animaux qui se retrouvent dans l’environnement des humains. Ces animaux sont utilisés pour la nourriture, les vêtements, etc. J’ai commencé comme photojournaliste. Je racontais des histoires à l’aide de photographies et d’images. Peu à peu, mon travail a évolué vers la narration d’histoires d’animaux.
En tant que présidente d’un groupe sans but lucratif, je travaille avec une équipe talentueuse qui s’occupe du marketing, de la collecte de fonds, du site web et des médias sociaux, de la comptabilité; tout ce qu’il faut pour faire fonctionner une agence de photographie. Je participe à bon nombre de ces processus, mais je travaille aussi à la rédaction et à la publication de livres et d’articles. Je crée du contenu pour transmettre des informations au public et ouvrir le dialogue. Dans mon travail, je fais tout, du travail de bureau à la recherche sur le terrain en passant par la prise de photos.
Contrairement à ce que l’on peut penser, mon travail a un lien avec les STIM. Dans les histoires que nous racontons à travers nos images et nos livres, nous parlons du comportement des animaux. En parlant de certains de leurs comportements, nous arrivons à mieux raconter leur histoire. Dans la galerie d’images de notre site web, nous indiquons les noms scientifiques des espèces que nous présentons. Nous voulons que les gens apprennent à connaître ces animaux, c’est pourquoi nous veillons à ce que notre travail soit factuel et de nature scientifique. Pour nous assurer de présenter des informations justes, nous faisons appel à des scientifiques.
Mon parcours
Je ne savais pas ce que je voulais faire quand j’étais à l’école, et je n’avais pas des notes extraordinaires, loin de là. J’avais de la difficulté à apprendre en classe. À ma dernière année du secondaire, j’ai décidé de tenter ma chance à l’université. J’ai donc redoublé d’efforts et, à ma grande surprise, j’ai obtenu un A. Mes demandes d’admission aux différentes universités ont été acceptées.
J’ai commencé à étudier la géographie, principalement parce que je ne savais pas vraiment ce que je voulais faire. J’ai suivi un cours facultatif sur l’impression en noir et blanc. Cela m’a ouvert les yeux sur l’expression artistique et son rôle dans la communication. J’ai tout de suite compris que c’était ça ma carrière.
Je n’ai pas officiellement étudié la photographie. Je me suis lancée et j’ai appris ce que je pouvais par moi-même. J’ai fait le tour d’un certain nombre d’agences et j’ai offert de faire du bénévolat. Je me suis rendue au bureau du Géographe canadien et je me suis portée volontaire pour exercer n’importe quelle tâche : classer des documents, faire du café, n’importe quoi! Je suppose que mon attitude m’a permis de faire un premier pas vers cet univers. J’ai travaillé comme assistante-photographe. Plus tard, j’ai été encouragée à prendre mes propres photos. J’ai continué à apprendre et j’ai travaillé avec de formidables personnes qui m’ont aidée tout au long de mon parcours. J’ai dévoré toutes les informations que j’ai pu trouver sur les photographes et le photojournalisme.
J’ai commencé à travailler pour moi-même. J’ai créé une entreprise de photos culinaires, de portraits et de photos de mariages. J’ai découvert que j’étais une bonne entrepreneuse. J’avais beaucoup de succès et j’aimais le travail. Toutefois, je m’intéressais surtout au changement social. J’ai donc commencé à prendre des photos d’animaux. Pas des animaux de compagnie ni des animaux sauvages. Les « animaux qu’on ne voit pas ». Ceux que nous mangeons, portons ou utilisons pour la recherche. Souvent, nous ne les considérons pas comme des êtres vivants parce que nous les voyons dans nos assiettes ou sous forme de vêtements. Leurs histoires sont importantes et doivent être racontées. Les histoires d’animaux touchent aussi à l’environnement, à la santé et aux droits de la personne. Il y a beaucoup de choses à couvrir en tant que photojournaliste animalier!
Ce qui me motive
Je suis motivée à faire du monde un endroit plus paisible pour tous les animaux. Je suis heureuse de pouvoir raconter des histoires à travers des images. J’essaie de raconter des histoires qui touchent les gens. Il est dans notre nature de vouloir détourner le regard lorsque nous voyons de la cruauté envers les animaux. Pour inciter les gens à s’engager, nous devons créer des images poignantes et convaincantes.
Comment j’influence la vie des gens
Nous voulons avoir un impact sur les gens! Les images atteignent les gens et transmettent l’information beaucoup plus vite que les textes. Nous voulons rendre le monde meilleur pour tous les êtres vivants. Pour ce faire, nous devons prendre conscience de nos actions sur les animaux dans notre environnement humain.
En dehors du travail, je
J’adore la lecture! C’est mon passe-temps préféré. Je jardine, je fais de l’exercice et je passe du temps à l’extérieur à faire de l’escalade et de la natation. À l’heure actuelle, je n’accueille pas d’animaux chez moi, mais j’en ai sauvé, accueilli et relocalisé plusieurs. Ma maison a été un refuge pour d’innombrables oiseaux, petits mammifères et, en ce moment, pour mon vieux chien, Banjo.
Mon conseil aux autres
Travaille dur et fais preuve de curiosité. N’essaie pas des raccourcis. Attends-toi à faire des erreurs. Ce n’est pas grave, les erreurs sont autant d’occasions d’apprendre et de progresser.
Durant mon parcours scolaire, j'appréciais les sujets suivants :
- Arts visuels
- Géographie
- Histoire
- Littérature et langue
- Éducation physique/Santé
- La biologie
Durant mon parcours scolaire , je me décrirais comme une personne qui :
- Aidait les gens à se rapprocher
- Appréciait travailler seul
- Voulait toujours sortir dehors
- Aimait aider les autres
- Faisait partie d’une équipe sportive
- Aimait travailler avec ses mains
- Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
- Organisait toujours les meilleures soirées entre amis
- S’impliquait dans des activités de bénévolat
- Aimait la lecture
- Se sentait à l'aise dans l'environnement extérieur et naturel
- Était très créative
- Organisait toujours les meilleures soirées entre amis
- N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard
- Aimait démonter les objets pour comprendre comment ils fonctionnaient
- Apprenait en expérimentant
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Responsable de l’infrastructure et de la sécurité
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