Kelly White
Massothérapeute autorisée
À propos de ma carrière
Je suis né/j’ai grandi à : À Stephenville (Terre-Neuve-et-Labrador), au Canada.
J’habite désormais : À Saint-Jean (Terre-Neuve-et-Labrador), au Canada.
J’ai complété ma formation ou mes études à : J’ai terminé un programme de 2 200 heures au Collège ICT Northumberland, situé à Halifax (Nouvelle-Écosse).
Je suis Mi’kmaq de la Première Nation de Qalipu.
Quand ils entendent parler de massothérapie, les gens pensent probablement au traitement de muscles endoloris par manipulation physique. Et c’est très souvent le cas. Toutefois, même si beaucoup de mes clients ressentent de la douleur, la cause de cette douleur n’est pas toujours des muscles endoloris. Parfois, l’inconfort est causé par une mauvaise posture. D’autres fois, elle survient à la suite d’un accident ou d’un dommage physique subi par le corps ou les nerfs. L’un de mes rôles est d’identifier la source de l’inconfort. J’élabore un plan de traitement pour permettre au client de fonctionner normalement dans ses activités quotidiennes. Pour certains clients, le plan de traitement est très simple. Pour d’autres, je dois résoudre plusieurs problèmes et prendre bien des décisions afin de trouver la source du problème et de concevoir un plan de traitement efficace. Dans certains cas rares ou complexes, il se peut que je doive consulter divers livres de référence.
Parfois, je discute des traitements possibles avec mes collègues. Dans les cas où il y a eu un traumatisme important (p. ex., à la suite d’un accident d’automobile), je dois souvent revoir les objectifs du traitement et modifier mon approche au cours du processus de réadaptation. À bien des égards, le fonctionnement du corps humain est très simple, mais à d’autres égards, il est très compliqué. Par exemple, une douleur ressentie dans une partie du corps peut émaner d’ailleurs. Donc, la source du problème n’est pas toujours évidente.
Je travaille comme massothérapeute autorisée depuis six ans. Pendant ce temps, j’ai appris que chaque clinique de massothérapie est unique. Dans certaines cliniques, il y a un ou une réceptionniste qui donne les rendez-vous pour les séances, perçoit les paiements et gère les livres comptables. Quant à moi, si mon travail m’amène toujours à appliquer ma compréhension scientifique de l’anatomie, de la physiologie et de la neurologie lorsque je fais des manipulations thérapeutiques, je dois parfois également fixer les rendez-vous, gérer les comptes, tenir à jour les dossiers et percevoir les paiements.
Au départ, je n’avais pas l’intention de devenir massothérapeute. À l’université, j’ai étudié l’histoire et les beaux-arts dans le but d’enseigner au secondaire. Peu à peu, j’ai réalisé que ce cheminement professionnel n’était pas pour moi. Pendant ce temps, j’ai dû voir un massothérapeute à la suite d’un accident du travail. J’étais tellement satisfaite des résultats que j’ai commencé à m’informer sur les carrières dans le domaine. J’ai appris que le programme de formation impliquait des études poussées en biologie et une formation pratique. J’avais aimé mes cours de biologie au secondaire et, en tant qu’artiste, l’anatomie et les mouvements du corps humain m’ont toujours émerveillée et fascinée.
Étant donné mon grand intérêt pour le corps humain, je me suis dit qu’une carrière comme massothérapeute me conviendrait bien. En effet, j’avais raison! Comme j’avais déjà fait des études universitaires, j’étais plus âgée que les autres étudiants dans le programme. De plus, ayant étudié l’histoire et les beaux-arts, j’avais oublié en grande partie mes connaissances scientifiques. Par conséquent, j’ai dû réapprendre beaucoup de choses que les professeurs et les autres étudiants considéraient comme allant de soi. J’ai aussi une déficience auditive, ce qui a posé quelques problèmes au début. J’ai surmonté ces défis en travaillant plus fort, en relisant le matériel de cours et en faisant des lectures supplémentaires. J’ai organisé un groupe d’étude qui se réunissait régulièrement, ce qui m’a vraiment aidée à rester sur la bonne voie.
Cela peut sembler cliché, mais je suis motivée par le fait d’aider les gens à se sentir mieux, tant dans leur corps que dans leur esprit. Je me sens vraiment bien lorsqu’un client retourne au travail ou reprend ses activités habituelles après avoir reçu des traitements qui ont pu apaiser ou supprimer la douleur. C’est vraiment génial lorsqu’un patient est surpris de voir à quel point il se sent mieux après seulement quelques séances!
J’apprécie vraiment le fait de toujours apprendre. À Terre-Neuve-et-Labrador, les massothérapeutes autorisés doivent suivre un certain nombre d’heures de formation tous les trois ans afin de maintenir un permis valide. J’ai donc l’occasion d’en apprendre sur les nouvelles techniques et les récentes recherches dans le domaine de la massothérapie. Ainsi, la formation continue m’aide à être la meilleure massothérapeute possible.
Je pense que mon travail a un très grand impact sur la vie de mes clients. Des études ont montré que la massothérapie améliore le bien-être général en réduisant les niveaux de stress et en améliorant les mouvements musculaires et articulaires. Dans le cas de clients qui arrivent avec des problèmes liés à la douleur ou à l’inconfort, il est facile de voir comment les traitements ont un impact positif sur leur qualité de vie.
Pendant mon temps libre, j’aime passer du temps avec mon chien et faire de la randonnée dans les sentiers près de chez moi. J’aime lire, peindre, coudre et regarder la télévision. En tant que massothérapeute, je fais du bénévolat lors d’événements spéciaux comme Spin4Kids (un programme qui encourage les enfants à rester actifs), les collectes de sang, les événements sportifs et d’autres activités qui font la promotion d’un mode de vie sain.
Quelle que soit la carrière à laquelle tu aspires, travaille fort. Tes efforts seront récompensés! Développe tes capacités organisationnelles, car il est plus facile d’assimiler de nouvelles informations quand celles-ci sont bien organisées. Reste positif! Et pose beaucoup, beaucoup de questions!
Ce que je fais au travail
Quand ils entendent parler de massothérapie, les gens pensent probablement au traitement de muscles endoloris par manipulation physique. Et c’est très souvent le cas. Toutefois, même si beaucoup de mes clients ressentent de la douleur, la cause de cette douleur n’est pas toujours des muscles endoloris. Parfois, l’inconfort est causé par une mauvaise posture. D’autres fois, elle survient à la suite d’un accident ou d’un dommage physique subi par le corps ou les nerfs. L’un de mes rôles est d’identifier la source de l’inconfort. J’élabore un plan de traitement pour permettre au client de fonctionner normalement dans ses activités quotidiennes. Pour certains clients, le plan de traitement est très simple. Pour d’autres, je dois résoudre plusieurs problèmes et prendre bien des décisions afin de trouver la source du problème et de concevoir un plan de traitement efficace. Dans certains cas rares ou complexes, il se peut que je doive consulter divers livres de référence.
Parfois, je discute des traitements possibles avec mes collègues. Dans les cas où il y a eu un traumatisme important (p. ex., à la suite d’un accident d’automobile), je dois souvent revoir les objectifs du traitement et modifier mon approche au cours du processus de réadaptation. À bien des égards, le fonctionnement du corps humain est très simple, mais à d’autres égards, il est très compliqué. Par exemple, une douleur ressentie dans une partie du corps peut émaner d’ailleurs. Donc, la source du problème n’est pas toujours évidente.
Je travaille comme massothérapeute autorisée depuis six ans. Pendant ce temps, j’ai appris que chaque clinique de massothérapie est unique. Dans certaines cliniques, il y a un ou une réceptionniste qui donne les rendez-vous pour les séances, perçoit les paiements et gère les livres comptables. Quant à moi, si mon travail m’amène toujours à appliquer ma compréhension scientifique de l’anatomie, de la physiologie et de la neurologie lorsque je fais des manipulations thérapeutiques, je dois parfois également fixer les rendez-vous, gérer les comptes, tenir à jour les dossiers et percevoir les paiements.
Mon parcours
Au départ, je n’avais pas l’intention de devenir massothérapeute. À l’université, j’ai étudié l’histoire et les beaux-arts dans le but d’enseigner au secondaire. Peu à peu, j’ai réalisé que ce cheminement professionnel n’était pas pour moi. Pendant ce temps, j’ai dû voir un massothérapeute à la suite d’un accident du travail. J’étais tellement satisfaite des résultats que j’ai commencé à m’informer sur les carrières dans le domaine. J’ai appris que le programme de formation impliquait des études poussées en biologie et une formation pratique. J’avais aimé mes cours de biologie au secondaire et, en tant qu’artiste, l’anatomie et les mouvements du corps humain m’ont toujours émerveillée et fascinée.
Étant donné mon grand intérêt pour le corps humain, je me suis dit qu’une carrière comme massothérapeute me conviendrait bien. En effet, j’avais raison! Comme j’avais déjà fait des études universitaires, j’étais plus âgée que les autres étudiants dans le programme. De plus, ayant étudié l’histoire et les beaux-arts, j’avais oublié en grande partie mes connaissances scientifiques. Par conséquent, j’ai dû réapprendre beaucoup de choses que les professeurs et les autres étudiants considéraient comme allant de soi. J’ai aussi une déficience auditive, ce qui a posé quelques problèmes au début. J’ai surmonté ces défis en travaillant plus fort, en relisant le matériel de cours et en faisant des lectures supplémentaires. J’ai organisé un groupe d’étude qui se réunissait régulièrement, ce qui m’a vraiment aidée à rester sur la bonne voie.
Ce qui me motive
Cela peut sembler cliché, mais je suis motivée par le fait d’aider les gens à se sentir mieux, tant dans leur corps que dans leur esprit. Je me sens vraiment bien lorsqu’un client retourne au travail ou reprend ses activités habituelles après avoir reçu des traitements qui ont pu apaiser ou supprimer la douleur. C’est vraiment génial lorsqu’un patient est surpris de voir à quel point il se sent mieux après seulement quelques séances!
J’apprécie vraiment le fait de toujours apprendre. À Terre-Neuve-et-Labrador, les massothérapeutes autorisés doivent suivre un certain nombre d’heures de formation tous les trois ans afin de maintenir un permis valide. J’ai donc l’occasion d’en apprendre sur les nouvelles techniques et les récentes recherches dans le domaine de la massothérapie. Ainsi, la formation continue m’aide à être la meilleure massothérapeute possible.
Comment j’influence la vie des gens
Je pense que mon travail a un très grand impact sur la vie de mes clients. Des études ont montré que la massothérapie améliore le bien-être général en réduisant les niveaux de stress et en améliorant les mouvements musculaires et articulaires. Dans le cas de clients qui arrivent avec des problèmes liés à la douleur ou à l’inconfort, il est facile de voir comment les traitements ont un impact positif sur leur qualité de vie.
En dehors du travail, je
Pendant mon temps libre, j’aime passer du temps avec mon chien et faire de la randonnée dans les sentiers près de chez moi. J’aime lire, peindre, coudre et regarder la télévision. En tant que massothérapeute, je fais du bénévolat lors d’événements spéciaux comme Spin4Kids (un programme qui encourage les enfants à rester actifs), les collectes de sang, les événements sportifs et d’autres activités qui font la promotion d’un mode de vie sain.
Mon conseil aux autres
Quelle que soit la carrière à laquelle tu aspires, travaille fort. Tes efforts seront récompensés! Développe tes capacités organisationnelles, car il est plus facile d’assimiler de nouvelles informations quand celles-ci sont bien organisées. Reste positif! Et pose beaucoup, beaucoup de questions!
Je suis autochtone
Je suis Mi’kmaq de la Première Nation de Qalipu.
Durant mon parcours scolaire, j'appréciais les sujets suivants :
- Arts visuels
- Arts dramatiques
- Alimentation et nutrition
- Géographie
- Musique
- Histoire
- Cours de métiers
- Littérature et langue
- Sciences
Durant mon parcours scolaire , je me décrirais comme une personne qui :
- Aimait aider les autres
- Organisait des activités pour ses amis
- Aimait travailler de ses mains
- Aimait la lecture
- Se sentait chez elle en pleine nature
- Organisait toujours les meilleures soirées entre amis
- Aimait démonter les objets pour comprendre comment ils fonctionnaient
- Aimait recevoir des instructions précises
- Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
- S’impliquait dans des activités de bénévolat
- N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard
- Apprenait en expérimentant
- Aimait concevoir ou fabriquer des objets
- Participait à des activités telles la pêche, la cueillette de petits fruits et la chasse
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