Ethan Martin
Soudeur en tuyauterie
À propos de ma carrière
Je suis né/j’ai grandi à : Sur la Réserve des Six Nations (Ontario), au Canada.
J’habite désormais : Sur la Réserve des Six Nations (Ontario), au Canada.
J’ai complété ma formation ou mes études à : À la Technical Trades Academy, située à Brantford (Ontario).
Nous commençons notre journée par une discussion matinale sur le travail à faire. Nous parlons des types de joints sur lesquels nous allons travailler et des questions de sécurité auxquelles nous devons penser. Nous vérifions que nous utilisons le bon type de produits consommables. Par exemple, nous vérifions que nous utilisons les bonnes baguettes de soudage (le matériel qui crée le joint) pour le type de métal avec lequel nous travaillons.
Lors de chaque projet de soudage, je me sers de mes connaissances en chimie des métaux. Afin d’assurer la qualité des soudures, je dois connaître les caractéristiques chimiques et physiques des métaux avec lesquels je travaille. Par exemple, je ne peux pas utiliser un matériau cassant pour souder deux tuyaux. Je dois connaître la conductivité thermique du métal, c’est-à-dire la température à laquelle le métal fond. Par exemple, je dois être très prudent lorsque je soude un métal comme l’aluminium, dont le point de fusion est faible. Ça prend moins de chaleur pour qu’un tel métal commence à se déformer ou à fondre.
Au travail, les soudeurs sont toujours en train de résoudre des problèmes. Parfois, je dois travailler sur des joints dans des endroits difficiles d’accès. Il m’arrive d’utiliser un miroir afin de voir derrière le joint sur lequel je travaille! Pour atteindre des joints éloignés, je dois parfois attacher mon chalumeau soudeur à un bâton avec du ruban à conduits. Il faut savoir se débrouiller.
Je suis devenu soudeur un peu par hasard. J’ai pu essayer la soudure à l’école secondaire, mais elle ne m’intéressait pas. Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai travaillé pour une entreprise de tabac. Je gagnais un bon salaire, mais je ne ressentais pas beaucoup de satisfaction. Je voulais plutôt travailler de mes mains. J’ai donc commencé par suivre un cours de formation préapprentissage. Ainsi, j’ai pu essayer différents métiers afin de découvrir ce que je voulais faire. J’ai suivi quelques cours, puis j’ai fait un stage. En terminant le programme de préapprentissage, tout a commencé à se mettre en place. J’ai établi des objectifs, puis je me suis organisé pour les atteindre. Aujourd’hui, j’ai une carrière qui m’intéresse et que j’aime!
Cela peut sembler bizarre, mais j’aime devoir faire le meilleur travail possible. C’est bien de gagner un bon salaire, mais en fin de compte, c’est ma réputation qui est en jeu chaque fois que je fais un projet de soudure. Si je gâche un projet, je suis la personne responsable. Et si quelque chose tombe en panne à cause d’une mauvaise soudure, j’aurai sur la conscience la qualité inférieure de mon travail. J’aime devoir faire de mon mieux et mettre mes compétences à l’épreuve!
Quand je fais une soudure pour joindre deux morceaux de métal, je dois m’assurer que le travail est bien fait. Dans le cas d’un joint entre deux morceaux de métal faisant partie d’un bâtiment, celui-ci pourrait devenir dangereux pour les personnes qui l’habitent ou le fréquentent si la soudure n’est pas bien faite. Parfois, je travaille sur des conteneurs métalliques qui seront sous pression ou qui sont conçus pour transporter des matières dangereuses. Ainsi, une bonne soudure assure que les marchandises arriveront à destination en toute sécurité, sans fuite ni explosion.
J’aime jouer au hockey et au baseball. J’aide les membres de ma communauté. J’ai fait du bénévolat pour Compétences Ontario lors des olympiades provinciales. Par exemple, j’ai tenu un kiosque d’information sur les carrières et j’ai animé des ateliers d’autonomisation pour les jeunes.
Ne lâche pas! Si tu veux devenir soudeur, n’oublie pas que ta première soudure ne sera pas très bonne. Tu dois persévérer et continuer à développer tes compétences. J’imagine que c’est un conseil qui peut s’appliquer à n’importe quelle carrière.
Ce que je fais au travail
Nous commençons notre journée par une discussion matinale sur le travail à faire. Nous parlons des types de joints sur lesquels nous allons travailler et des questions de sécurité auxquelles nous devons penser. Nous vérifions que nous utilisons le bon type de produits consommables. Par exemple, nous vérifions que nous utilisons les bonnes baguettes de soudage (le matériel qui crée le joint) pour le type de métal avec lequel nous travaillons.
Lors de chaque projet de soudage, je me sers de mes connaissances en chimie des métaux. Afin d’assurer la qualité des soudures, je dois connaître les caractéristiques chimiques et physiques des métaux avec lesquels je travaille. Par exemple, je ne peux pas utiliser un matériau cassant pour souder deux tuyaux. Je dois connaître la conductivité thermique du métal, c’est-à-dire la température à laquelle le métal fond. Par exemple, je dois être très prudent lorsque je soude un métal comme l’aluminium, dont le point de fusion est faible. Ça prend moins de chaleur pour qu’un tel métal commence à se déformer ou à fondre.
Au travail, les soudeurs sont toujours en train de résoudre des problèmes. Parfois, je dois travailler sur des joints dans des endroits difficiles d’accès. Il m’arrive d’utiliser un miroir afin de voir derrière le joint sur lequel je travaille! Pour atteindre des joints éloignés, je dois parfois attacher mon chalumeau soudeur à un bâton avec du ruban à conduits. Il faut savoir se débrouiller.
Mon parcours
Je suis devenu soudeur un peu par hasard. J’ai pu essayer la soudure à l’école secondaire, mais elle ne m’intéressait pas. Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai travaillé pour une entreprise de tabac. Je gagnais un bon salaire, mais je ne ressentais pas beaucoup de satisfaction. Je voulais plutôt travailler de mes mains. J’ai donc commencé par suivre un cours de formation préapprentissage. Ainsi, j’ai pu essayer différents métiers afin de découvrir ce que je voulais faire. J’ai suivi quelques cours, puis j’ai fait un stage. En terminant le programme de préapprentissage, tout a commencé à se mettre en place. J’ai établi des objectifs, puis je me suis organisé pour les atteindre. Aujourd’hui, j’ai une carrière qui m’intéresse et que j’aime!
Ce qui me motive
Cela peut sembler bizarre, mais j’aime devoir faire le meilleur travail possible. C’est bien de gagner un bon salaire, mais en fin de compte, c’est ma réputation qui est en jeu chaque fois que je fais un projet de soudure. Si je gâche un projet, je suis la personne responsable. Et si quelque chose tombe en panne à cause d’une mauvaise soudure, j’aurai sur la conscience la qualité inférieure de mon travail. J’aime devoir faire de mon mieux et mettre mes compétences à l’épreuve!
Comment j’influence la vie des gens
Quand je fais une soudure pour joindre deux morceaux de métal, je dois m’assurer que le travail est bien fait. Dans le cas d’un joint entre deux morceaux de métal faisant partie d’un bâtiment, celui-ci pourrait devenir dangereux pour les personnes qui l’habitent ou le fréquentent si la soudure n’est pas bien faite. Parfois, je travaille sur des conteneurs métalliques qui seront sous pression ou qui sont conçus pour transporter des matières dangereuses. Ainsi, une bonne soudure assure que les marchandises arriveront à destination en toute sécurité, sans fuite ni explosion.
En dehors du travail, je
J’aime jouer au hockey et au baseball. J’aide les membres de ma communauté. J’ai fait du bénévolat pour Compétences Ontario lors des olympiades provinciales. Par exemple, j’ai tenu un kiosque d’information sur les carrières et j’ai animé des ateliers d’autonomisation pour les jeunes.
Mon conseil aux autres
Ne lâche pas! Si tu veux devenir soudeur, n’oublie pas que ta première soudure ne sera pas très bonne. Tu dois persévérer et continuer à développer tes compétences. J’imagine que c’est un conseil qui peut s’appliquer à n’importe quelle carrière.
Durant mon parcours scolaire, j'appréciais les sujets suivants :
- Arts visuels
- Arts dramatiques
- Alimentation et nutrition
- Cours de métiers
- Sciences
- Mathématiques
- Musique
- Éducation physique/Santé
- Technologie
Durant mon parcours scolaire , je me décrirais comme une personne qui :
- Aidait les gens à se rapprocher
- Appréciait travailler seule
- Aimait aider les autres
- Voulait toujours aller dehors
- Était motivée par le succès
- Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
- S’impliquait dans des activités de bénévolat
- Aimait la lecture
- Se sentait chez elle en pleine nature
- Jouait à des jeux vidéo
- Était très créative
- Organisait toujours les meilleures soirées entre amis
- N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard
- Aimait démonter les objets pour comprendre comment ils fonctionnaient
- Aimait concevoir ou fabriquer des objets
- Participait à des activités telles la pêche, la cueillette de petits fruits et la chasse
Partenaires
-
Kenzie Arnott
Profils de carrière
Responsable du programme « Science in the City »
Je dirige un programme de communication scientifique dans trois villes différentes. Le but est de connecter les scientifiques afin de les aider à comprendre les spécialités des uns et des autres. -
Jose Chiriboga (il)
Profils de carrière
Associé principal au soutien scientifique
Mon équipe et moi créons et animons des programmes de formation illustrant les diverses manières d’utiliser nos produits afin de faciliter la recherche scientifique et l’innovation. -
Genny Marcoux
Profils de carrière
Responsable de l’infrastructure et de la sécurité
Je dirige une équipe experte chargée de créer un environnement sécurisé pour l’équipe de développement de cours, permettant à la clientèle de se familiariser avec nos produits et d’apprendre la cybersécurité. -
Gordon Martell (il)
Profils de carrière
Professeur adjoint
J’enseigne aux étudiants et étudiantes du postsecondaire à devenir des leaders dans les écoles et autres organisations. -
Nancy Rogers
Profils de carrière
Prospectrice professionnelle et artisane
Je me rends dans des régions reculées à la recherche de minéraux et de cristaux. -
Marianne Parent (elle)
Profils de carrière
Vétérinaire / Candidate au doctorat en épidémiologie vétérinaire,
Je suis une docteure pour les chats et les chiens, ainsi que pour certains autres animaux comme les perroquets et les lapins. Je fais aussi de la recherche sur un parasite du saumon d’élevage. -
Ali Ashrafi (il)
Profils de carrière
Candidat au doctorat
Je suis inscrit dans un programme de doctorat en sciences humaines. -
Olivia Ivany
Profils de carrière
Technologue en échographie diagnostique
J’effectue différents types d’échographies sur l'ensemble du corps. -
Rashell Featherstone (elle)
Profils de carrière
Associée principale au programme
Je coordonne des projets pour le développement de nouveaux produits chez STEMCELL. -
Tyler Morhart (il)
Profils de carrière
Scientifique, responsable de la ligne de faisceaux – SyLMAND
Je fais partie du personnel scientifique à l’installation de rayonnement synchrotron du Centre canadien de rayonnement synchrotron. Je suis responsable de la ligne de faisceaux de SyLMAND. -
Mohamd Imad
Profils de carrière
Spécialiste de l’étalonnage des systèmes de diagnostic et de contrôle des véhicules
Je travaille sur l’électronique, le câblage et les logiciels des véhicules extraordinaires de General Motors. -
Brianna Lummerding
Profils de carrière
Responsable de l’innovation agronomique
Je m’occupe de tout ce qui concerne la gestion des sols pour un groupe de détaillants et détaillantes.