Kira Hoffman portant un casque rouge avec de la fumée en arrière-plan

Kira Hoffman sur la ligne de feu.  

Kira Hoffman (elle)

Chercheuse postdoctorale/écologiste des feux

University of British Columbia

Profil créé le : 9 juillet 2024
Secteur :
Ressources naturelles,  Sciences
Parcours education : Université
Matières scolaires associées :
Biologie,  Écologie,  Écosystèmes,  Sciences environnementales,  Incidences de l’activité humaine sur les écosystèmes,  Secteur des ressources naturelles,  Durabilité,  Géographie,  Études des Autochtones

À propos de ma carrière

Je suis chercheuse dans une université et un organisme à but non lucratif au sein desquels j’acquiers de l’expérience pour devenir chercheuse principale.

Je suis né/j’ai grandi à : Smithers, Colombie-Britannique

J’habite désormais : Smithers, Colombie-Britannique

J’ai fait ma formation ou mes études à : J’ai commencé par obtenir un diplôme au Collège Selkirk – technologie forestière et programme de crédits universitaires (en anglais). 

Par la suite, j’ai obtenu un baccalauréat en sciences (avec distinction), spécialisé en biogéographie (en anglais) à l’Université de Victoria. 

Je suis titulaire d’un doctorat en sciences de l’environnement à l’Université de Victoria. 

Après mon doctorat, j’ai obtenu une bourse de recherche (en anglais) à l’Université de l’Oregon. J’ai ensuite effectué de la recherche postdoctorale (en anglais) à l’Université de Waterloo et de la recherche postdoctorale (en anglais) à l’Université de la Colombie-Britannique. Dans le cadre de ma bourse et de mes recherches postdoctorales, j’ai continué à développer mes compétences en recherche.

Je suis une chercheuse postdoctorale au sein d’une université et d’un organisme sans but lucratif. La recherche postdoctorale s’avère une avenue pour les personnes ayant obtenu leur doctorat, qui leur permet de s’engager dans une formation en cours d’emploi pour développer leurs compétences en recherche. C’est un peu comme un ou une médecin qui décide de poursuivre une spécialisation en chirurgie cardiaque. 

Je travaille souvent sur mon ordinateur. Je rédige des rapports et je code les ensembles de données recueillis. Je travaille également sur des présentations que je fais devant le grand public ou d’autres scientifiques. 

J’aime établir des relations avec les autres. J’aime travailler à résoudre des problèmes avec des gens qui ont des perspectives ou des points de vue différents. Cela m’aide à ancrer mes recherches dans la réflexion sur le monde réel. Je soutiens également la pratique d’écobuage ou brûlage dirigé. Alors, je vais allumer des feux et je dirige les équipes pour des brûlages sécuritaires et efficaces. Ce genre de travail peut se révéler stressant, surtout quand je suis sur la ligne de feu (aussi appelée ligne d’arrêt). Lorsque nous travaillons avec le feu, je suis responsable de la sécurité des autres personnes. Mais la ligne de feu est aussi un endroit excitant!  

J’aime vraiment travailler en équipe. J’utilise beaucoup d’équipement spécialisé sur la ligne de feu. Cela comprend des stations météorologiques, des radios, des lance-flammes à action localisée (ou chalumeaux), des pompes et des tronçonneuses. J’utilise également des appareils spéciaux qui mesurent l’intensité du feu. Je compte beaucoup sur mes collègues et sur ma formation en matière d’incendie. De plus, je suis une athlète dans mes temps libres. Cela m’aide à me préparer pour la ligne de feu. Consulte mon site personnel pour en savoir plus sur ce que je fais et dans le cadre de mes recherches.

Je n’aurais jamais pu imaginer que je serais une scientifique. J’ai eu du mal au secondaire avec les mathématiques, la physique et la biologie. Je ne pensais pas avoir l’intelligence requise pour suivre ces cours à un niveau plus élevé. Heureusement, j’ai eu un professeur qui m’a beaucoup soutenue au collège. Cela m’a permis de réaliser que j’avais simplement besoin de meilleurs exemples et d’une bonne dose de patience pour apprendre certains de ces concepts.  

Je suis allée à l’université à titre d’étudiante adulte. J’ai vraiment excellé dans le programme de biogéographie. J’ai combattu des feux de forêt pendant les mois d’été. J’ai fait partie d’une équipe d’attaque initiale d’incendies en Colombie-Britannique.  

J’ai toujours été très intéressée par le feu. J’ai donc poursuivi l’étude de l’écologie des feux dans le cadre de mon doctorat. Je n’ai pas vraiment décidé de me lancer dans ce domaine. À bien des égards, j’ai l’impression d’apprendre constamment et de toujours chercher à déterminer les prochaines étapes. Mon cheminement n’était ni linéaire ni simple. Mais j’ai travaillé très fort. J’avais aussi de solides mentors et mentores qui m’ont soutenue dans les moments difficiles. 

C’était très difficile d’être une femme travaillant dans une équipe d’incendie. J’ai dû surmonter de nombreux obstacles. Souvent, je n’étais pas incluse dans l’équipe. Maintenant, je me concentre vraiment sur mon rôle de mentore auprès d’autres femmes et jeunes filles qui veulent poursuivre une carrière dans le domaine des incendies.  

Mon équipe m’enthousiasme au travail! Les journées de brûlage sont certainement les plus intéressantes. Je trouve aussi des choses intéressantes ou inattendues quand je suis sur le terrain à examiner les arbres pour déceler des cicatrices de feu. J’adore trouver des vestiges du passé dans les endroits que je visite. Ce que j’aime le plus dans mon emploi, c’est d’emmener mes enfants avec moi sur les lieux de travail. Je leur montre à quel point je suis fière de ce que je fais. 

Ma carrière compte parce que je change la façon dont les personnes interagissent avec le feu et la façon dont elles le perçoivent. Je contribue au rétablissement de paysages sains grâce à l’utilisation du feu. Je mets aussi les jeunes praticiens et praticiennes, même les enfants, en contact avec le feu. Il est excitant et épanouissant de voir les gens renouer avec le feu grâce au brûlage ou à l’observation d’un brûlage. Mon travail fait une différence lorsque je rassemble une communauté et que je soutiens des relations durables.

J’adore être à l’extérieur avec ma famille et mon chien. Nous skions en hiver, et nous faisons de la randonnée et du camping en été. Je suis une entraîneuse de ski nordique en hiver. L’été, je fais du bénévolat pour éliminer les mauvaises herbes envahissantes de la vallée où je vis. J’aime aussi jouer au ping-pong avec mes amis et amies. Tout sport ou jeu est amusant pour moi, même si je ne suis pas toujours douée!

Je dirais que parfois les choses peuvent être très difficiles. Mais elles s’améliorent. Quand les gens veulent te prêter assistance, accepte leur aide. Le parcours pour travailler dans le domaine des feux peut être long. Mais cela peut être très gratifiant. Ce n’est certainement pas pour tout le monde!  

Ce que je fais au travail

Je suis une chercheuse postdoctorale au sein d’une université et d’un organisme sans but lucratif. La recherche postdoctorale s’avère une avenue pour les personnes ayant obtenu leur doctorat, qui leur permet de s’engager dans une formation en cours d’emploi pour développer leurs compétences en recherche. C’est un peu comme un ou une médecin qui décide de poursuivre une spécialisation en chirurgie cardiaque. 

Je travaille souvent sur mon ordinateur. Je rédige des rapports et je code les ensembles de données recueillis. Je travaille également sur des présentations que je fais devant le grand public ou d’autres scientifiques. 

J’aime établir des relations avec les autres. J’aime travailler à résoudre des problèmes avec des gens qui ont des perspectives ou des points de vue différents. Cela m’aide à ancrer mes recherches dans la réflexion sur le monde réel. Je soutiens également la pratique d’écobuage ou brûlage dirigé. Alors, je vais allumer des feux et je dirige les équipes pour des brûlages sécuritaires et efficaces. Ce genre de travail peut se révéler stressant, surtout quand je suis sur la ligne de feu (aussi appelée ligne d’arrêt). Lorsque nous travaillons avec le feu, je suis responsable de la sécurité des autres personnes. Mais la ligne de feu est aussi un endroit excitant!  

J’aime vraiment travailler en équipe. J’utilise beaucoup d’équipement spécialisé sur la ligne de feu. Cela comprend des stations météorologiques, des radios, des lance-flammes à action localisée (ou chalumeaux), des pompes et des tronçonneuses. J’utilise également des appareils spéciaux qui mesurent l’intensité du feu. Je compte beaucoup sur mes collègues et sur ma formation en matière d’incendie. De plus, je suis une athlète dans mes temps libres. Cela m’aide à me préparer pour la ligne de feu. Consulte mon site personnel pour en savoir plus sur ce que je fais et dans le cadre de mes recherches.

Mon parcours

Je n’aurais jamais pu imaginer que je serais une scientifique. J’ai eu du mal au secondaire avec les mathématiques, la physique et la biologie. Je ne pensais pas avoir l’intelligence requise pour suivre ces cours à un niveau plus élevé. Heureusement, j’ai eu un professeur qui m’a beaucoup soutenue au collège. Cela m’a permis de réaliser que j’avais simplement besoin de meilleurs exemples et d’une bonne dose de patience pour apprendre certains de ces concepts.  

Je suis allée à l’université à titre d’étudiante adulte. J’ai vraiment excellé dans le programme de biogéographie. J’ai combattu des feux de forêt pendant les mois d’été. J’ai fait partie d’une équipe d’attaque initiale d’incendies en Colombie-Britannique.  

J’ai toujours été très intéressée par le feu. J’ai donc poursuivi l’étude de l’écologie des feux dans le cadre de mon doctorat. Je n’ai pas vraiment décidé de me lancer dans ce domaine. À bien des égards, j’ai l’impression d’apprendre constamment et de toujours chercher à déterminer les prochaines étapes. Mon cheminement n’était ni linéaire ni simple. Mais j’ai travaillé très fort. J’avais aussi de solides mentors et mentores qui m’ont soutenue dans les moments difficiles. 

C’était très difficile d’être une femme travaillant dans une équipe d’incendie. J’ai dû surmonter de nombreux obstacles. Souvent, je n’étais pas incluse dans l’équipe. Maintenant, je me concentre vraiment sur mon rôle de mentore auprès d’autres femmes et jeunes filles qui veulent poursuivre une carrière dans le domaine des incendies.  

Ce qui me motive

Mon équipe m’enthousiasme au travail! Les journées de brûlage sont certainement les plus intéressantes. Je trouve aussi des choses intéressantes ou inattendues quand je suis sur le terrain à examiner les arbres pour déceler des cicatrices de feu. J’adore trouver des vestiges du passé dans les endroits que je visite. Ce que j’aime le plus dans mon emploi, c’est d’emmener mes enfants avec moi sur les lieux de travail. Je leur montre à quel point je suis fière de ce que je fais. 

Comment j’influence la vie des gens

Ma carrière compte parce que je change la façon dont les personnes interagissent avec le feu et la façon dont elles le perçoivent. Je contribue au rétablissement de paysages sains grâce à l’utilisation du feu. Je mets aussi les jeunes praticiens et praticiennes, même les enfants, en contact avec le feu. Il est excitant et épanouissant de voir les gens renouer avec le feu grâce au brûlage ou à l’observation d’un brûlage. Mon travail fait une différence lorsque je rassemble une communauté et que je soutiens des relations durables.

En dehors du travail, je

J’adore être à l’extérieur avec ma famille et mon chien. Nous skions en hiver, et nous faisons de la randonnée et du camping en été. Je suis une entraîneuse de ski nordique en hiver. L’été, je fais du bénévolat pour éliminer les mauvaises herbes envahissantes de la vallée où je vis. J’aime aussi jouer au ping-pong avec mes amis et amies. Tout sport ou jeu est amusant pour moi, même si je ne suis pas toujours douée!

Mon conseil aux autres

Je dirais que parfois les choses peuvent être très difficiles. Mais elles s’améliorent. Quand les gens veulent te prêter assistance, accepte leur aide. Le parcours pour travailler dans le domaine des feux peut être long. Mais cela peut être très gratifiant. Ce n’est certainement pas pour tout le monde!  

Durant mon parcours scolaire, j'appréciais les sujets suivants :

  • Arts visuels
  • Langues étrangères
  • Géographie
  • Histoire
  • Économie domestique
  • Études/langues autochtones

Durant mon parcours scolaire , je me décrirais comme une personne qui :

  • Voulait toujours sortir dehors
  • Faisait partie d’une équipe sportive
  • Aimait travailler avec ses mains
  • Aimait la lecture
  • Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
  • Ne s’inquiétait pas trop de ses notes
  • Se sentait à l'aise dans l'environnement extérieur et naturel
  • N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard

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