Voici les finalistes des prix pour bénévoles Parlons sciences de 2017
À Parlons sciences, le bénévolat procure de nombreux bienfaits, dont une plus grande confiance en soi et des aptitudes en communication. De plus, nous encourageons tous nos bénévoles à continuellement innover et à proposer de nouvelles idées. Aujourd’hui, à l’occasion de la Semaine de l’action bénévole, nous sommes heureux d’annoncer les noms des récipiendaires de nos prix décernés aux bénévoles — de jeunes gens qui ont dépassé toutes les attentes pour concrétiser la mission de Parlons sciences.
Trois prix sont décernés cette année :
- le Prix du bénévole de l’année du programme Sensibilisation Parlons sciences;
- le Prix du bénévole de l’année du programme CurioCité;
- le Prix du leadership David Colcleugh pour les coordonnateurs de site de Sensibilisation Parlons sciences.
Les prix du/de la bénévole de l’année visent à reconnaître la contribution de merveilleux communicateurs auprès des jeunes, dont le travail est une source d’inspiration pour leurs collègues bénévoles. Quant au prix du leadership David Colcleugh, il est décerné au coordonnateur/à la coordonnatrice de site ayant démontré un leadership exceptionnel au sein de son établissement d’études postsecondaires ainsi que dans sa collectivité. L’importance de ces prix est reconnue par nos donateurs externes, comme le programme de leadership Colcleugh. Pour en savoir davantage sur ces prix et sur les lauréats antérieurs, visitez notre page sur les prix pour bénévoles.
Nous vous invitons à célébrer avec nous les récipiendaires de cette année ainsi que tous leurs collègues ayant reçu une mise en candidature.
Prix du bénévole de l’année du programme Sensibilisation Parlons sciences
Analise Hoffman, Parlons sciences à l’Université de la Colombie-Britannique
Analise a participé à un partenariat d’un an avec une école primaire à Surrey, en Colombie-Britannique. Elle a agi à titre de mentor auprès d’autres bénévoles, et préparé toute une variété de nouvelles activités pour chacune de ses visites à l’école. Sa polyvalence est un véritable atout : elle sait concevoir des activités des plus variées, qu’il s’agisse de biodiversité ou de programmation, qui conviennent aux jeunes de tous âges, tant ceux du primaire qu’à ceux de groupes du secondaire.
Caitlin Loo, Parlons sciences à l’Université de Toronto, campus St. George
Caitlin a découvert Parlons sciences lorsqu’elle était au secondaire, alors qu’elle assistait à un symposium StemCellTalks à l’Université de Toronto. Cette participation a fait naître en elle un grand intérêt pour la recherche sur les cellules souches, et lui a fait comprendre toute la variété de carrières possibles dans le domaine des STIM (les sciences, les technologies, l’ingénierie et les mathématiques). Aujourd’hui, elle travaille à favoriser les occasions d’apprentissage pour les jeunes en tant que membre de l’équipe de conception de contenus StemCellTalks, en participant à l’organisation du Défi Parlons sciences et en préparant des activités pertinentes à présenter en région.
Ethan Yang, Parlons sciences à l’Université McGill
Ethan est un bénévole Parlons sciences très engagé depuis 2011, ayant pris part à des activités de sensibilisation tant en français et en anglais qu’en mandarin. Qu’il évolue en contexte scolaire ou communautaire, qu’il fasse du mentorat auprès de jeunes scolarisés à la maison ou qu’il soit juge à une foire scientifique, Ethan cherche toujours à rendre les sciences amusantes pour les jeunes en leur proposant des activités interactives et en leur posant de grandes questions qui piquent la curiosité.
Jennifer Neufeld, Parlons sciences à l’Université d’Ottawa
Cette année, Jennifer s’est principalement consacrée à éveiller un nouvel enthousiasme pour les sciences chez les jeunes et à leur donner envie de faire partie de la communauté scientifique. Lorsqu’elle visite des écoles, elle ne manque jamais de parler de sa passion pour les STIM et de la multitude de carrières liées aux sujets qu’elle présente. Au cours des derniers mois, Jennifer s’est rendue dans les collectivités autochtones éloignées de Fort Albany et de Kashechewan, en plus d’avoir appuyé la tenue d’activités de sensibilisation à l’intention de groupes autochtones à Ottawa.
Nicole Jankovic, Parlons sciences à l’Université de l’Alberta
Nicole croit fermement qu’il importe d’éduquer et d’inspirer la jeune génération, et de l’encourager à suivre un parcours scientifique et à mieux comprendre tous les progrès scientifiques de l’heure. Un des ateliers qu’elle a mis sur pied met l’accent sur les modes de vie durable. Pour créer cet atelier interactif qui stimule l’intellect des jeunes de la 4e année et qui éveille chez ces derniers la passion pour les sciences, elle a collaboré avec un éducateur ainsi qu’avec l’équipe du bureau de la durabilité de son université.
Nous tenons également à féliciter tous ceux et celles qui ont été mis en nomination :
Ajani Asokumar, Université Carleton
Alastair Kierulf, Université Queen’s
Aneeq Qayyum, Université de Victoria
Arshdeep Khurana, Université de Toronto, campus de Mississauga
Barbara Francisco, Université d’Ottawa
Bradford Dean, Université Concordia
Brianne Larson, Université de Victoria
Carolyn Lauzon, Collège Fanshawe
Chantel Henderson, Université du Nouveau-Brunswick, campus de Saint John
Christine Bowen, Université de Guelph
Danielle McCulloch, Université d’Ottawa
Elizabeth Gregory, Université de Victoria
Emily Morneau, Université de Guelph
Erin Coyne, Université McGill
Erynn Button, Université Memorial de Terre-Neuve, campus de St. John’s
Filip Stojic, Université de Toronto, campus de St. George
Georges Semedo Cabral, Université de Moncton
Ibrahim Rizvi, Université de Windsor
Jade Atkins, Université Carleton
Jennifer Morgan, Université McMaster
Jennifer Payandeh, Université Simon Fraser
Joseph Benjamen, Université York
Julia McIntyre, Université du Nouveau-Brunswick, campus de Fredericton
Justin Cook, Institut universitaire de technologie de l’Ontario
Karla Juego, Université de Calgary
Kiruthika Baskaran, Université de Windsor
Kristeen Atkinson, Université du Nouveau-Brunswick, campus de Saint John
Logan MacIntyre, Université de l’Île-du-Prince-Édouard
Manaum Zain, Université Ryerson
Mara Goodyear, Université de Guelph
Mariam Mohamed, Université Ryerson
Marvin Guvara, Institut universitaire de technologie de l’Ontario
Panteha Rastgar, Université York
Raymond Al Homsi, Université Concordia
Samina Munawar, Université York
Sarah Purcell, Université du Nouveau-Brunswick, campus de Fredericton
Thomas McIntyre, Université de l’Alberta
Wendy Cao, Université de Toronto, campus St. George
Prix du bénévole de l’année du programme CurioCité
Chris Chen
Bénévole Parlons sciences depuis longue date, Chris a été l’un des contributeurs les plus actifs sur le site CurioCité en 2016, ayant signé des articles sur un large éventail d’intéressants sujets entourant la biologie. C’est avec une grande passion que Chris travaille à promouvoir l’acquisition de connaissances scientifiques chez les jeunes, et qu’il mise sur de nouvelles techniques pour rendre ses écrits plus accessibles aux adolescents. Ses travaux ont même dépassé les frontières du Web; l’équipe de rédaction de CurioCité a utilisé un extrait de son article sur l’autophagie intitulé Autophagy: When your body eats itself dans un atelier d’écriture afin de démontrer comment expliquer des notions scientifiques en ayant recours à l’analogie.
Marie-Lyne Fillion
Marie-Lyne est une bénévole Parlons sciences dévouée qui contribue grandement tant au programme Sensibilisation qu’à CurioCité. Dans les pages de CurioCité, ses traductions permettent de combler un besoin urgent en contenus de langue française. Marie-Lyne reconnaît qu’il n’est pas facile de rejoindre les jeunes lorsqu’il est question de sciences, et prend donc le soin de clarifier et de vulgariser les concepts scientifiques dont elle traite dans ses articles. Son but est de rendre les STIM accessibles, pertinentes et même cool, ce qui transparaît dans tous ses textes.
Mira Okshevsky
Mira adore éveiller l’enthousiasme des jeunes envers les STIM. Le défi d’écrire des textes à l’intention d’un jeune public la réjouit et elle considère qu’il s’agit d’un exercice efficace de maîtrise de la communication scientifique plus générale. Elle met d’ailleurs à profit les habiletés qu’elle a acquises grâce à son travail pour CurioCité lorsque vient le temps de rédiger des textes sur ses constats de recherche destinés à d’autres publications s’adressant aux jeunes. En 2016, elle a rédigé quatre articles pour CurioCité qui portaient sur des sujets tels que les changements climatiques, la maladie du charbon… et la raison pour laquelle on trouve des pieds humains dans l’océan! Ses articles sont non seulement informatifs, ils sont aussi très amusants!
Prix du leadership David Colcleugh pour les coordonnateurs de site de Sensibilisation Parlons sciences
Ian Dimopoulos, Parlons sciences à l’Université de Winnipeg
Ian est un véritable vecteur de changement. Il est déterminé à aider les jeunes Canadiens à tirer profit de toutes les occasions qui s’offrent à eux. Et c’est en cultivant des liens avec des groupes des collectivités rurales et des grandes villes qu’il concrétise cette vision. Ian a en outre amélioré le maintien en poste des bénévoles à son université en apportant des modifications à la séance d’accueil, de manière à assurer que les nouvelles recrues vivent des expériences positives à Parlons sciences.
Kendall Wyman, Parlons sciences à l’Université du Nouveau-Brunswick, Saint John
Ayant commencé l’année à titre d’unique coordonnatrice de site à l’Université du Nouveau-Brunswick (campus de Saint John), Kendall a dû travailler fort pour motiver ses bénévoles et faire croître le programme. Pari réussi : en une seule semaine, l’équipe a rencontré plus de jeunes que pendant l’année scolaire précédente! Étant donné une telle croissance, Kendall travaille présentement à assurer que tout est en place pour la relève qui poursuivra sur le même élan.
Mannix Chan, Parlons sciences à l’Université de Victoria
En tant que coordonnateur local, Mannix adore inspirer les jeunes élèves et susciter leur curiosité, et encourager les bénévoles comme lui à rester curieux eux aussi. Il cherche toujours à bien comprendre les objectifs personnels de ses coéquipiers bénévoles afin de pouvoir leur proposer les expériences Parlons sciences les plus enrichissantes qui soient. C’est cet intérêt pour la croissance personnelle de chacun qui le motive à veiller à ce que ses collègues s’épanouissent grâce au bénévolat.
Nous tenons également à féliciter tous ceux et celles qui ont été mis en nomination :
Alexandra Kasper, Université Simon Fraser
Alison Muller, Université de l’Alberta
Amanda Tracey, Université Queen’s
Anna Hudlin, Université Brock
Ashley Turner, Université de Windsor
Danielle Guitard, Université d’Ottawa
Drake Comber, Université Simon Fraser
Eliza Ali, Université Carleton
Hala R. Farahat Abdel Khalek, Université Concordia
Jasmin Chahal , Université McGill
Justin Whitaker, Collège loyaliste
Lindsay Beyger, Institut universitaire de technologie de l’Ontario
Maxime Boudreau, Université de Moncton
Melissa Mathers, Université York
Naomi Safir, Université Concordia
Osman Mahamud, Université de Toronto, campus St. George
Renee Nelson, Université d’Ottawa
Ryan Sanford, Université de Toronto, campus St. George
Sandhya Mylabathula, Université de Toronto, campus St. George
Stefanie Barcic, Université de Windsor
Swapna Mylabathula, Université de Toronto, campus St. George
Tina Pantic, Université de Windsor
Vicki Leung, Université McGill
Yonatan Lipsitz, Université de Toronto, campus St. George