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Finalistes des prix nationaux de Parlons sciences

Actualités | 20 avril 2018 | Partager sur :

Nous sommes à la fois fiers et reconnaissants de pouvoir compter sur des milliers de bénévoles pour éveiller en notre nom la passion des STIM chez les enfants et les adolescents d’un bout à l’autre du Canada. Bon an mal an, nous présentons des prix à ceux qui se sont distingués, de même qu’aux coordonnateurs de site de sensibilisation qui ont fait leur marque durant l’année. Pour la première fois, nous remettrons également un prix au meilleur projet de sensibilisation auprès des Autochtones.

À la suite de longues délibérations, nous sommes heureux d’annoncer les finalistes des prix pour cette année.


Michelle Trudel

Le Prix du leadership David Colcleugh pour les coordonnateurs de site de Sensibilisation Parlons sciences

Michelle Lynn Trudel, Université de Winnipeg

Lors de sa première année en qualité de coordonnatrice de site, Michelle a augmenté la visibilité du programme au sein de son campus, tout en améliorant l’accessibilité des activités dans les collectivités rurales et autochtones.

« Je crois fermement que l’éducation est la clé pour permettre aux jeunes d’engendrer des changements dans leurs propres milieux » [traduction].


Renee Nelson

Renee Nelson, Université d’Ottawa

Renee a concentré ses efforts pour faire en sorte que les nombreuses collectivités à l’intérieur et aux environs d’Ottawa puissent accéder aux programmes en STIM de la manière qui convient le mieux aux besoins particuliers des élèves qui y résident.

« J’ai rendu visite à une poignée d’éducateurs auprès d’enfants ayant des besoins particuliers et j’ai été en mesure de leur montrer comment incorporer des éléments du programme de sciences dans des activités pratiques susceptibles d’intéresser leurs élèves » [traduction].


Ryan Kahue

Ryan Kahue, Université Western

Cette année, Ryan a fourni à ses bénévoles des occasions de faire croître le programme et de développer leurs propres compétences en créant et en encadrant des comités menés par eux, et en mettant à l’essai de nouvelles stratégies de reconnaissance à leur égard.

« Mon rôle est de créer pour mes bénévoles une expérience positive, signifiante et enrichissante; je leur montre que j’apprécie réellement leur apport » [traduction].


Cross Lake First Nations Outreach

Prix de sensibilisation auprès des Autochtones du programme Sensibilisation Parlons sciences

Sensibilisation auprès de la Première Nation de Cross Lake, Parlons sciences à l’Université de Winnipeg

Équipe de bénévoles : Michelle Trudel, Nicole Dorville, Apurva Bhardwaj, Lambert Wilson Baiden, Ian Dimopoulos et Andrea Dypiangco.

En décembre 2017, ces bénévoles ont collaboré avec le détachement local de la Gendarmerie royale du Canada pour réaliser des activités de sensibilisation dans trois écoles de la Première Nation de Cross Lake. Ils ont l’intention d’y retourner l’an prochain.

« Ayant parlé à de nombreux enseignants (surtout aux écoles intermédiaire et secondaire Mikisew et D. R. Hamilton), j’ai appris qu’ils avaient trouvé que Parlons sciences avait eu des impacts positifs sur les jeunes participants, et que l’intérêt et la motivation de ces derniers envers les cours ou carrières en sciences avaient augmenté depuis la visite effectuée plus tôt dans l’année scolaire » [traduction d’une citation du gendarme Nichols].


OttawaInuitChildrensCentre

Un parcours remarquable avec l’Ottawa Inuit Children’s Centre, Parlons sciences à l’Université d’Ottawa

Équipe de bénévoles : Sue McKee, Marie-Ève Wedge, Sarah Zhang, Jason Kwan, Renee Nelson, Priyam Maini et Shuhiba Mohammad.

Ce qui a commencé par une demande d’aide de l’Ottawa Inuit Children’s Centre plus tôt dans l’année s’est transformé en un partenariat beaucoup plus étendu et solide entre les enfants, les bénévoles et les éducateurs.

« D’une initiative visant à offrir des activités aux enfants en semaine de relâche s’est développé un solide partenariat avec l’OICC pour quatre de ses programmes : le camp de la semaine de relâche de mars, le camp d’été, le programme de garde parascolaire Tukimut et le programme Youth Moving Forward pour les adolescents » [traduction d’une citation de Sue McKee].


Chiniki Community College

Mini-journée universitaire au campus Foothills de Calgary pour le collège communautaire Chiniki de Morley, Parlons sciences à l’Université de Calgary

Équipe de bénévoles : Shinia Van, Aurna Khan, Reem Ghaleb, Tianyi Zhao, Kourosh Banaeianzadeh et Sid Goutam.

Afin de réagir aux difficultés éprouvées par de nombreux étudiants de Morley en Alberta dans leur parcours scolaire, de même qu’à leur faible participation aux programmes du secondaire, ces bénévoles ont organisé pour eux une mini-journée universitaire. Les jeunes se sont ainsi rendus au Campus Foothills de Calgary pour participer à des activités scientifiques pratiques, avoir un aperçu du monde universitaire et explorer des possibilités de carrière.

« Pour produire un impact positif dans une collectivité, il faut aussi établir des liens entre étudiants et bénévoles afin de créer un filet pour ceux qui ont besoin d’orientation, d’amitié et de mentorat pour atteindre leurs objectifs scolaires et réaliser leurs projets » [traduction d’une citation de Shinia Van].


Beverly McClenaghan

Prix national du bénévole de l’année du programme CurioCité

Beverly McClenaghan

Beverly a le don de montrer à ses lecteurs les merveilles cachées des mondes animal et végétal. Elle écrit des articles expressifs et détaillés qui nous permettent de voir la vie des arbres, des fourmis et d’autres êtres vivants « ordinaires » d’une toute nouvelle manière.

« J’ai beaucoup appris sur la façon d’adapter les activités de sensibilisation aux STIM en fonction d’un plus jeune auditoire en établissant des liens avec des choses plus pertinentes pour les adolescents et en vulgarisant pour eux des concepts hermétiques. J’ai aussi appris à quel point il importait de générer de la ferveur, de l’enthousiasme et de la curiosité chez les lecteurs afin de les encourager à pousser plus loin pour faire leurs propres découvertes » [traduction].


Harleen Saini

Harleen Saini

Durant l’année, Harleen a passé en revue 40 articles moins récents trouvés sur CurioCité afin de s’assurer qu’ils étaient toujours actuels et pertinents pour les adolescents. Elle en a aussi rédigé deux. Elle écrit sur un ton ludique et convivial qui suscite l’intérêt des lecteurs pour des sujets plus complexes. En la lisant, on a l’impression d’apprendre des notions en STIM d’une bonne amie.

« J’adore partager mon enthousiasme pour les choses qui m’intéressent; CurioCité me permet vraiment de le faire, tout en m’offrant des occasions de continuer d’apprendre moi aussi » [traduction].


Moushumi Nath

Moushumi Nath

Moushumi a écrit cinq articles pour CurioCité l’an dernier. Sa spécialité? Trouver les aspects amusants et fascinants liés aux STIM de sujets qui pourraient naturellement intéresser les adolescents, comme les raisons pour lesquelles on peut souffrir de nausées en voiture (Why do I get carsick?), les dessous des messages nostalgiques sur Instagram (What’s the deal with those nostalgic posts on Instagram?), et même l’existence possible des hippogriffes (Could hippogriffs actually exist?!)!

« Les milieux où nous évoluons ne cessent de changer sur les plans culturel et technologique, mais aussi au point de vue des problèmes auxquels les adolescents sont confrontés. Il faut donc que l’éducation en STIM demeure en évolution, s’adaptant constamment au contexte des étudiants » [traduction].

Apprenez-en davantage sur Moushumi en consultant son profil de bénévole.


Christine Vaccaro

Prix national du bénévole de l’année du programme Sensibilisation Parlons sciences

Christine Vaccaro, Université du Manitoba

Christine participe à un large éventail d’initiatives offertes à son site de sensibilisation. Elle a créé des activités sur des sujets allant de la programmation informatique à la microscopie des végétaux. Elle prend également part aux visites de sensibilisation en milieu rural, à la journée Girls in Science (les filles en sciences) et aux camps de jour d’été.

« Je me suis donné comme objectif d’ouvrir les occasions de sensibilisation aux écoles rurales, de façon à ce que les élèves puissent avoir un avant-goût de l’université en profitant d’activités spéciales en STIM » [traduction].


Daniel Saucier

Daniel Saucier, Université de Moncton

Daniel est un bénévole dévoué qui a réalisé plus de 35 activités cette année. Il aide à organiser celles d’un club de sciences dans une école de Dieppe, au Nouveau-Brunswick, et a créé des ateliers fondés sur l’investigation à l’intention des élèves.

«Se mettre au niveau [des enfants], tout en les considérant comme des esprits capables, est la clé pour gagner leur respect et leur confiance »


Erica Mitchell

Erica Mitchell, Université de Winnipeg

Erica contribue à l’organisation et à la coordination d’un partenariat avec le service de garde de l’association étudiante de son campus. Elle travaille avec son équipe pour créer une série d’activités dont certaines s’axent sur des sujets proposés par les enfants. En sa qualité de codirectrice de ce partenariat, elle soutient également ses collègues bénévoles.

« Depuis que j’ai accepté la direction du programme, j’ai eu la chance d’encadrer les nouveaux bénévoles qui, dans certains cas, étaient mal à l’aise de parler et de faire preuve d’un peu de fantaisie devant les petits » [traduction].


Jade Atkins

Jade Atkins, Université Carleton

Jade est bénévole pour Parlons sciences depuis sept ans! Elle est consciente de son rôle de modèle à suivre pour tous les étudiants qu’elle rencontre, surtout les femmes autochtones, et à ce titre, elle s’efforce d’élargir leurs perspectives de carrières en STIM.

« Mon travail bénévole… est principalement motivé par mon désir d’être une ambassadrice des STIM et de montrer aux jeunes filles que des parcours professionnels dans ces domaines sont possibles pour elles » [traduction].


Krysta Levac

Krysta Levac, bénévole professionnelle

Krysta fait du bénévolat depuis six ans à l’école publique New Sarum. Comme elle n’est pas attachée à un de nos sites de sensibilisation, elle établit et maintient de façon indépendante des liens avec les éducateurs, crée des activités et organise elle-même ses visites en classe.

« Je pense qu’il est important que les enfants voient que les expériences scientifiques ne requièrent pas toujours d’équipement sophistiqué. Des articles courants et peu dispendieux trouvés dans les bacs de recyclage, les coffres à jouets, les magasins à un dollar ou les épiceries constituent mon matériel préféré » [traduction].

Félicitations aux plus de 120 candidats! Sans votre dévouement et vos efforts assidus, nous n’aurions pas l’impact que nous avons. Les gagnants de chacun des prix seront annoncés en juin 2018.