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Les partenaires de l’industrie attisent les passions pour les STIM au Défi Parlons sciences

Actualités | 23 juin 2017 | Partager sur :
Des élèves à l’Université Western montrant leur enthousiasme au moyen d’affiches Parlons sciences

Chaque année, des élèves de la 6e à la 8e années (2e secondaire) de partout au Canada participent au Défi Parlons sciences, un concours d’un jour axé sur les sciences, les technologies, l’ingénierie et les mathématiques (les STIM) qui a lieu dans les divers sites du programme Sensibilisation Parlons sciences d’un bout à l’autre du pays.

Cette année, un tout premier Défi Parlons sciences a été offert en français; tenu à l’Université de Sherbrooke, au Québec, le Défi a attiré quelque 50 jeunes participants.

Ce concours de nature parascolaire, qui a lieu en avril et mai, donne aux jeunes intéressés par les STIM l’occasion de cultiver leurs passions. Ils commencent d’ailleurs à s’y préparer dès le mois de janvier. Le Défi encourage les jeunes à coopérer, à collaborer et à résoudre des problèmes avec leurs pairs, et brosse un tableau réaliste des possibilités d’apprentissage des STIM au niveau secondaire. Et ce n’est pas tout — les conférenciers, jeux-questionnaires et épreuves de conception font du Défi une journée remplie de plaisir et de saine compétition!

Les bénévoles de Sensibilisation Parlons sciences ne sont pas les seuls à mettre la main à la pâte — des partenaires de l’industrie ont également généreusement offert leur temps lors du Défi de cette année.

Mabel Ho, de la société Samsung Canada, explique pourquoi elle est bénévole au Défi Parlons sciences : « Le bénévolat est important, à toutes les étapes de la vie. Être bénévole dans la collectivité vous aide à croître en tant que personne, mais cela contribue aussi à la croissance de la collectivité elle-même. » [traduction]

Pour Balsam Ibrahim, de 3M Canada, devenir bénévole au Défi Parlons sciences était une décision qui allait de soi. La jeune femme a été bénévole au programme Sensibilisation Parlons sciences lorsqu’elle étudiait à l’Université Western, et le Défi Parlons sciences a toujours été son activité préférée.

« Lorsque j’allais à l’université, je ne savais pas grand-chose des entreprises pour lesquelles je pourrais éventuellement travailler, mais comme 3M commandite le Défi, les participants ont la chance de découvrir cette entreprise à un jeune âge. Ils peuvent se dire “Un jour, je pourrais travailler là”. De plus, en tant que femme scientifique, je dois admettre qu’encore aujourd’hui, il y a peu de présence féminine dans les laboratoires, et c’est formidable d’encourager les jeunes filles à s’intéresser aux sciences », affirme Mme Ibrahim. [traduction]

Mais pourquoi le Défi Parlons sciences attire-t-il autant d’élèves? Claire Gulliver, une enseignante à l’école publique Jack Chambers qui prend part au Défi Parlons sciences depuis maintenant cinq ans, explique la popularité de l’activité en ces termes :

« Les élèves adorent cette journée. Peu importe s’ils réussissent ou non les épreuves, ils vivent toujours une merveilleuse expérience. Ils apprennent, ils s’épanouissent, ils font de nouvelles choses — et tout ça, sur un campus universitaire, ce qui est une expérience en soi pour beaucoup d’entre eux. Ils quittent toujours le Défi avec beaucoup d’enthousiasme. » [traduction]

Ainsi, grâce à ses programmes gratuits, Parlons sciences favorise la culture scientifique en suscitant l’intérêt envers les STIM de la maternelle à la fin du secondaire. Mais il serait impossible d’organiser le Défi sans le généreux soutien des donateurs de Parlons sciences, dont les suivants :

Nos donateurs nationaux : le gouvernement du Canada, la Fondation CH2M, Shaw Communications, la Fondation familiale Trottier et 3M Canada.

Nos donateurs régionaux : Dow Chemical Canada, Hibernia Development and Management ltée, le gouvernement de l’Ontario, la Fondation Dart, la société Stantec et la coopérative de crédit Libro.

Les bénévoles de Sensibilisation Parlons sciences à l’Université de Sherbrooke