Je suis né/j’ai grandi à : Vancouver, Colombie-Britannique
J’habite désormais : Vancouver, Colombie-Britannique
J’ai fait ma formation ou mes études à : J’ai obtenu un baccalauréat en biologie cellulaire et moléculaire de l’Université Simon Fraser et un doctorat du département de médecine expérimentale à l’Université de la Colombie-Britannique. Avant de me joindre à STEMCELL, j’ai voyagé à Los Angeles dans le cadre d’un stage postdoctoral avec l’Hôpital pour enfants de Los Angeles et l’Université de la Californie du Sud.
Pendant la journée, mes activités vont des travaux pratiques en laboratoire aux travaux collaboratifs avec des membres d’autres équipes ou départements. Je suis responsable des travaux scientifiques que nous effectuons, mais aussi de faire cheminer des produits potentiels à travers le processus de commercialisation. Il s’agit notamment de savoir si un produit peut être fabriqué et de savoir comment le fabriquer.
J’aime le défi que représente la résolution de problèmes. Il peut y avoir des difficultés auxquelles se heurtent nos clients et clientes ou d’autres membres de l’équipe au sein de l’entreprise. Cette activité exige toute la créativité, les compétences techniques et l’expertise que j’ai acquises dans ma carrière universitaire. Plus particulièrement, nous suivons le même processus scientifique pour concevoir et mener nos recherches, résoudre des problèmes et tirer des conclusions que les chercheurs et chercheures universitaires. Ce processus est essentiel à une bonne résolution de problèmes.
Les projets qui nécessitent l’utilisation de microscopes constituent l’un de mes aspects préférés de mon emploi. Même si les autres types de données sont très importants pour répondre aux questions clés liées à nos produits, je trouve que c’est profondément satisfaisant de pouvoir « voir » le matériel de travail que nous n’arrivons pas à voir à l’œil nu.
J’ai décroché mon emploi actuel en suivant ma passion. Parfois, je n’étais pas certain d’où cela me conduirait, mais j’ai finalement réussi à trouver une carrière que j’aime. Je dois ce succès au département d’enseignement coopératif de l’Université Simon Fraser. Dans le cadre du programme coopératif, j’ai trouvé ce que j’aimais de la science et, tout aussi important, quels types d’emplois en science je n’aimais pas. Ce sont des éléments incroyablement utiles à connaître lorsque vient le temps de planifier sa future carrière.
La résolution de problèmes m’attire. Le processus qui implique de cerner un besoin, de tester des solutions possibles et d’améliorer une chose de sorte qu’elle convienne à la clientèle est une expérience très gratifiante. Le fait d’être entouré d’autres personnes intelligentes ayant leurs propres bonnes idées contribue grandement à élaborer les meilleures solutions possibles.
J’ai toujours aimé le sentiment que procure une découverte authentique, même s’il s’agit d’une petite trouvaille issue d’une expérience simple en apparence. L’un des aspects formidables de mon emploi actuel est que ces découvertes ne sont pas abstraites, mais bien des produits du monde réel. J’ai donc l’occasion de fabriquer des « choses » et d’enrichir les connaissances.
C’est très gratifiant de lancer de nouveaux produits qui aident les chercheurs et chercheures des milieux universitaire, biotechnologique et pharmaceutique, à faire de nouvelles découvertes et à améliorer la santé humaine.
J’aime faire de la randonnée à travers le paysage spectaculaire de la Colombie-Britannique, jouer au golf et passer du temps avec ma famille.
Une carrière en science peut être difficile. Par sa nature même, la science est difficile, et beaucoup de choses que tu essaieras te mèneront à un échec. C’est important d’aimer ton domaine d’études ou recherches pour t’aider à traverser les moments difficiles et apprécier l’expérience de faire de nouvelles découvertes.
