
Daryl Lawes

Daryl Lawes devant l'un des nombreux remorqueurs de Seaspan qui assurent le transport maritime.

Daryl Lawes devant l'un des nombreux remorqueurs de Seaspan qui assurent le transport maritime.
À propos de moi
I was born/grew up in: Sidney, en Colombie-Britannique.
I now live in: North Vancouver, en Colombie-Britannique.
I completed my training/education at:
Collège Camosun, à Victoria, en Colombie-Britannique – Diplôme en technologie de l’environnement
Université Royal Roads, à Victoria, en Colombie-Britannique – Baccalauréat ès sciences
Ce que je fais au travail
J’aime mon travail, car je fais plusieurs tâches qui changent tous les jours. Certaines journées, je peux être sur une énorme barge pétrolière dans l’océan pour effectuer un exercice d’intervention en cas de déversement de pétrole. D’autres journées, je peux me retrouver à bord d’un bateau de croisière pour examiner ses systèmes de traitement des eaux usées. Parfois, je participe à un groupe de travail pour trouver des moyens de protéger les orques en voie de disparition autour de l’île de Vancouver. Il m’arrive aussi d’avoir beaucoup de réunions et de devoir rédiger des rapports. Je visite nos chantiers navals, nos gares maritimes, mais surtout les bateaux et les barges dès que j’en ai l’occasion.
Tous les jours, j’utilise mes connaissances scientifiques, surtout en biologie et en chimie. Mes formations me sont utiles lorsque j’examine des rapports techniques comme des évaluations de sites, des études d’habitats marins, des échantillonnages d’eau, des études de bruit et des analyses de la qualité de l’air.
Dans mon travail, je fais beaucoup de résolution de problèmes. Par exemple, je dois trouver des façons de réparer des navires et d’exploiter des barges pétrolières de la manière la plus sûre, la plus responsable et la plus efficace possible, tout en assurant leur rentabilité. C’est important que les industries qui travaillent sur nos côtes tiennent compte de l’impact environnemental et communautaire de leurs activités dans leurs décisions. Par exemple, lorsque je prends des décisions, j’essaie de tenir compte de toutes les éventualités. Je réfléchis aux problèmes potentiels et aux améliorations possibles. Ensuite, je travaille avec notre équipe opérationnelle hautement qualifiée pour planifier les activités.
Une formation en STIM aide à comprendre comment l’industrie peut affecter les communautés et les côtes de la Colombie-Britannique qui sont très sensibles aux changements de l’environnement. Par exemple, nous comprenons maintenant comment le bruit produit par les navires peut affecter la communication par sonar des orques, qui sont en voie de disparition. Nous savons aussi comment certains produits chimiques contenus dans les peintures peuvent nuire à la capacité des salmonidés (les poissons comme les saumons) à se reproduire. J’utilise toutes mes connaissances pour limiter les conséquences de nos activités.
Dans ce domaine, il est essentiel de pouvoir travailler en équipe. Lorsque nous cherchons des solutions à des problèmes, les meilleures idées surviennent de manière inattendue. C’est important d’instaurer un environnement d’équipe diversifié où tout le monde se sent à l’aise de participer et de prendre la parole.
Mon parcours
J’ai toujours su que je voulais poser des gestes concrets. Je suis allé à l’université où j’ai commencé à suivre des cours de sciences générales. J’ai découvert que j’étais très intéressée par les domaines de l’environnement. J’ai donc fait un baccalauréat ès sciences en gestion et science de l’environnement . Pendant mon baccalauréat, j’ai occupé un emploi du programme coopératif avec le gouvernement fédéral. Le salaire n’était pas élevé, mais cet emploi m’a permis d’acquérir une expérience diversifiée dans le domaine de l’environnement. J’ai eu l’occasion de travailler sur une variété de projets. Par exemple, j’ai prélevé des échantillons dans des mines d’argent du centre du Yukon et j’ai étudié les espèces dans divers parcs nationaux. J’ai même travaillé à l’élaboration d’un plan de gestion des déchets pour une prison à sécurité maximale! Ces expériences m’ont donné envie de travailler dans le domaine de l’environnement.
Chaque jour, il est de plus en plus clair que nous nuisons à l’environnement et à nos communautés. C’est parfois décourageant. Mais je suis heureux d’avoir choisi ce parcours professionnel où je peux avoir une réelle influence positive.
Ce qui me motive
Mon travail devient très valorisant quand d’autres personnes s’impliquent et s’intéressent à la protection de l’environnement. Par exemple, nos ingénieures et nos ingénieurs mènent une lutte contre les changements climatiques. Ils et elles construisent les premiers remorqueurs électriques à forte puissance d’Amérique du Nord. Nos tuyauteuses et nos tuyauteurs ont aussi proposé un plan innovant. Ce plan vise à utiliser des bulles pour empêcher les saumons d’être piégés dans les cales sèches. Je suis heureux que mon travail permette d’améliorer continuellement la protection de l’environnement.
J’aime aussi parler avec les gens de nos communautés. J’aime particulièrement collaborer avec les Premières Nations de la vallée du bas Fraser et des côtes. Je suis inspiré par leur respect pour la terre, l’eau et la communauté, et par la résilience de leur peuple et leur grande gentillesse.
Comment j’influence la vie des gens
C’est que j’aime de travailler en environnement pour une entreprise privée, c’est que je travaille activement à la protection de nos côtes et de nos communautés. En même temps, j’aide l’entreprise à obtenir un succès à long terme. Ce succès permet de soutenir l’économie, les emplois, la défense nationale et le transport de biens essentiels vers les communautés côtières. Parmi les 2 800 employées et employés de Seaspan Shipyards, il y a des membres de ma famille, des amies et amis, des voisines et voisins, et des habitantes et habitants de la côte ouest de la Colombie-Britannique.
En dehors du travail, je
Je passe mes temps libres avec ma famille, dans la nature, ou sur un terrain de sport à jouer au baseball ou au football. Oh, et c’est important pour moi de voyager et de découvrir le monde!
Mon conseil aux autres
Fais des recherches sur les différentes carrières et possibilités dans le domaine. Parle à des personnes qui travaillent dans les domaines qui t’intéressent.
C’est important d’avoir des certifications et des diplômes professionnels, mais c’est tout aussi important d’avoir l’expérience technique et pratique. Tout dépend du type de travail que tu veux faire.
Trouve un emploi qui te motivera à te lever de ton lit chaque matin!
- Géographie
- Sciences
- Mathématiques
- Faisait partie d’une équipe sportive
- S’impliquait dans des activités de bénévolat
- N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard
- Se sentait à l'aise dans l'environnement extérieur et naturel
Sujets connexes
Les partenaires
Parlons Sciences apprécie le soutien de Seaspan Shipyards qui nous a permis d'entrer en contact avec cette personne.
Seaspan Shipyards est un chef de file de l'industrie canadienne de la construction et de la réparation navales. Avec des installations modernes et une main-d'œuvre dévouée de 2 700 personnes à North Vancouver et à Victoria, Seaspan Shipyards a prouvé qu'elle était un partenaire de confiance pour une gamme de projets complexes pour le gouvernement et le secteur privé. Seaspan Shipyards est fière d'être le constructeur de navires non destinés au combat choisi par le Canada dans le cadre de la Stratégie nationale de construction navale (SNCN). À ce titre, l'entreprise construit au Canada des navires de pointe pour la Garde côtière canadienne et la Marine royale canadienne. Grâce à son travail lié à la SNCN, Seaspan Shipyards crée des emplois, génère des bénéfices économiques et reconstruit les industries navales et maritimes du Canada.