
Bob Hanner
À propos de moi
Je suis né/j’ai grandi à : Aux États-Unis. Je suis né en Californie et j’ai grandi dans le Michigan où j’ai appris à aimer le plein air.
J’habite désormais : à Cambridge, en Ontario.
J’ai fait ma formation ou mes études à : J’ai obtenu un baccalauréat en biologie de l’Université Eastern Michigan et un doctorat en biologie de l’Université de l’Oregon.
Ce que je fais au travail
Selon la journée, je peux accomplir toutes sortes de tâches différentes. Parfois, j’accompagne des étudiantes et des étudiants dans leurs projets. Il peut s’agir d’étudiantes et d’étudiants de premier cycle dans un programme d’études spécialisées, à la maîtrise ou au doctorat, ou encore de boursières et de boursiers postdoctoraux. Je les aide à résoudre les problèmes qui surviennent au cours de leurs recherches.
Je parle souvent à un public, que ce soit en enseignant en classe, en présentant des conférences internationales ou à des groupes communautaires. Je participe actuellement au réseau de recherche GEN-FISH, une initiative canadienne qui utilise les outils génomiques pour aborder l’étiquetage, le stress et la santé des poissons en utilisant l’ADN environnemental (ADNe) que les poissons relâchent dans l’environnement. Avant cela, j’étais coordonnateur de campagne pour le projet Fish Barcode of Life Initiative (FISH-BOL), un projet mondial dont l’objectif est l’élaboration d’une base de données standardisée de référence contenant des séquences de « codes-barres d’ADN » pour améliorer l’étiquetage des poissons.
Ensuite, il y a mes travaux de recherche qui impliquent bien plus que de soulever une hypothèse et de concevoir une expérience! Je dois me tenir au courant de la littérature scientifique dans mon domaine, ce qui signifie que je fais beaucoup de lecture. Je dois aussi trouver des fonds pour soutenir les recherches que nous menons. Pour ce faire, je rédige de nombreuses demandes de fonds destinées aux groupes gouvernementaux et du secteur privé. Après que mes étudiantes, mes étudiants et moi-même ayons pu réaliser les expériences, nous devons analyser les résultats et les publier dans des revues scientifiques. Le partage de nos connaissances et de nos découvertes avec le reste de la communauté scientifique est une grande partie de ce que doit faire une chercheuse ou un chercheur scientifique comme moi.
Mon parcours
Je n’avais pas en tête de devenir chercheur. Je suis allé à l’université parce que je m’intéressais à la biologie et à la chimie et que je voulais en apprendre plus. À l’université, j’ai pris goût à la recherche et je me suis engagé sur la voie qui m’a mené à mon rôle actuel.
Après avoir obtenu mon diplôme, j’ai travaillé comme conservateur associé au Musée américain d’histoire naturelle à New York. J’y ai dirigé la création de la Collection Ambrose Monell pour la recherche moléculaire et microbienne. Ensuite, je suis allé à l’Institut de recherche médicale Coriell. J’agissais à titre de directeur du programme scientifique et nous avons constitué une bibliothèque de codes à barres d’ADN de primates non humains. Ensuite, je suis allé à l’Université de Guelph et je suis devenu professeur au département de biologie intégrative. Je suis aussi membre de l’Arrell Food Institute et je suis affilié à l’Institut de la biodiversité de l’Ontario.
Ce qui me motive
L’une des choses qui me motivent dans mon travail est la pertinence de mes travaux pour les enjeux auxquels notre société fait face. C’est très gratifiant de contribuer à garantir la sécurité de notre approvisionnement alimentaire. Nous aidons à assurer que les gens obtiennent les aliments pour lesquels ils paient, et c’est également important dans une perspective plus vaste de protection des espèces menacées et de contribution au développement durable.
J’aime également travailler avec les jeunes scientifiques qui, dans un avenir proche, seront ceux et celles qui feront bouger les choses. Mes mentores et mentors m’ont fourni les compétences et les connaissances qui m’ont permis d’arriver là où je suis aujourd’hui. Je suis donc fier, à mon tour, d’aider à préparer la prochaine génération de scientifiques.
Comment j’influence la vie des gens
Les recherches que nous menons ont de grandes répercussions. Nos recherches sur l’ADN environnemental (ADNe) contribuent à protéger les espèces en péril en déterminant où elles vivent et en aidant à préserver leur habitat essentiel. La biosurveillance fondée sur l’ADN des ravageurs agricoles, des phytovirus et des vecteurs de maladies pourrait avoir de grandes répercussions sur la façon dont nous cultivons nos aliments et sur la façon dont nous luttons contre les éléments nuisibles. Elle pourrait nous aider à protéger les animaux d’élevage et nous-mêmes contre les maladies, en plus de contribuer à résoudre les problèmes de sécurité alimentaire. Nous employons aussi les codes à barres génétiques pour détecter les fraudes alimentaires, particulièrement pour les produits de la mer, car certaines espèces sont vendues frauduleusement comme d’autres espèces. Souvent, un poisson bon marché est vendu comme un poisson plus cher.
En dehors du travail, je
J’aime être à l’extérieur, surtout pour faire du ski alpin. J’aime aussi cuisiner des repas sains à partir de zéro pour les partager avec ma famille et mes amies et amis.
Mon conseil aux autres
Lis tous les jours! La lecture est essentielle, peu importe la carrière que tu aimerais suivre.
- Commerce et économie
- Informatique
- Géographie
- Histoire
- Sciences
- Aidait les gens à se rapprocher
- Voulait toujours sortir dehors
- Organisait des activités pour ses amis
- Aimait avoir la liberté d’explorer ses idées
- Se sentait à l'aise à l'extérieur, en milieu naturel
- Ressentait une grande satisfaction lorsqu’elle obtenait de bonnes notes
- N’était pas certaine de ce qu’elle voulait faire plus tard
- Passair du temps à traîner avec ses amis, à écouter de la musique.
- Aimait faire des ballades en motocyclette